Pour l’UNSA, le budget doit prendre un autre chemin. Avec l’intersyndicale au complet (CGT, CFDT, FO, CGC, CFTC, Solidaires, FSU) l’UNSA appelle l’ensemble des travailleurs et des citoyens à une grande journée de grève et de manifestations.
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Pour l’UNSA, le budget doit prendre un autre chemin. Avec l’intersyndicale au complet (CGT, CFDT, FO, CGC, CFTC, Solidaires, FSU) l’UNSA appelle l’ensemble des travailleurs et des citoyens à une grande journée de grève et de manifestations.
Le gouvernement souhaite une nouvelle fois doubler le montant et le plafond annuel des franchises médicales et des participations forfaitaires. Ces décrets auront des conséquences directes sur l’accès aux soins, en particulier pour les plus précaires.
L’UNSA, avec d’autres organisations, dénoncent fermement ces textes et appellent le gouvernement à revoir sa copie.
Retrouver le texte intersyndical.
Cette année marque un événement historique : les 80 ans de la Sécurité sociale, un pilier fondamental de notre modèle républicain. Depuis sa création, elle veille sur nous tous·tes, garantit l’accès aux soins, soutient les plus fragiles et assure une solidarité intergénérationnelle qui font la force de notre société.
Après une remontée observée au mois d’août, l’Indice du moral des salariés se maintient en septembre à 5,4/10, soit un niveau identique au mois précédent.
L’intersyndicale (UNSA, CFDT, CGT, FO, CGC, CFTC, Solidaires, FSU) appelle à une journée nationale de grève et de manifestations le 18 Septembre 2025.
Les mesures présentées pour le budget sont inacceptables et d’une brutalité sans précédent.
Depuis l’attaque terroriste innommable du Hamas le 7 octobre 2023, condamnée dès le premier jour par l’UNSA, les représailles d’Israël ont pris une dimension insoutenable et inacceptable, frappant indistinctement civils et combattants dans une spirale meurtrière sans fin.
La condamnation à mort de la militante iranienne Sharifeh Mohammadi a été confirmée. L’UNSA avec une intersyndicale française exhorte dans ce communiqué le gouvernement iranien à annuler la condamnation à mort de la militante syndicale et défenseuse des droits des femmes en Iran. Nous dénonçons l’utilisation de la peine de mort comme outil de répression politique.
Après s’être attaqué aux plus pauvres, aux retraités et aux malades, le gouvernement s’en prend désormais aux immigrés en cherchant à durcir une nouvelle fois le panier de soins et l’accès à l’Aide médicale d’État (AME).