La 28e Conférence des Parties sur le climat des Nations Unies (COP 28) s’est terminée la semaine dernière à Dubaï, après 15 jours de discussions intenses. La mention d’une sortie progressive des énergies fossiles dans le texte final est un symbole important, mais le manque d’objectifs communs et de moyens financiers laissent peu de doutes sur les difficultés à maintenir une trajectoire permettant de rester sous les 1,5 degrés.
Par ailleurs, les syndicats saluent les échanges concernant le programme de travail pour une transition juste et la reconnaissance des droits des travailleurs, mais regrettent l’absence de mention du rôle essentiel des travailleurs et des syndicats dans le document final.