Les organisations syndicales DGB, CFDT, CGT et UNSA initient un travail syndical franco-allemand
commun pour défendre la démocratie face à la menace des extrêmes droites.
Les organisations syndicales DGB, CFDT, CGT et UNSA initient un travail syndical franco-allemand
commun pour défendre la démocratie face à la menace des extrêmes droites.
En intersyndicale, l’UNSA s’exprime à l’occasion du troisième anniversaire de la vague d’arrestation de syndicalistes biélorusses le 19 avril 2022. Aujourd’hui, les répressions contre les travailleurs et travailleuses ne cessent de s’amplifier. Nous dénonçons fermement la remise en cause du multilatéralisme et du droit international par le président Loukachenko. Nous exigeons la libération des syndicalistes encore emprisonné.es.
L’UNSA exprime à nouveau sa solidarité avec le peuple ukrainien. Face à la nouvelle situation marquée par l’alliance entre les Etats-Unis de Trump et la Russie de Poutine, les associations d’Ukrainiens et Ukrainiennes en France appellent à une manifestation à Paris ce samedi 5 avril à 14 heures, de la Place de la République à Bastille. L’intersyndicale appelle à se joindre au rassemblement pour marquer son soutien aux travailleurs et travailleuses d’Ukraine.
Ekrem Imamoglu, maire d’Istanbul et principal opposant au président Recep Tayyip Erdogan, a été placé en détention sur la base d’accusations de corruption et d’aide à un groupe terroriste. Cette arrestation a déclenché une vague de protestations sans précédent en Turquie.
Depuis novembre 2024, la Serbie est le théâtre d’un mouvement de contestation massif. Tout a commencé avec l’effondrement de l’auvent d’un bâtiment public récemment rénové, un drame qui a coûté la vie à seize personnes. Ce tragique événement a révélé l’ampleur de la corruption gangrenant l’appareil d’État et a déclenché une vague d’indignation sans précédent.
Une étape clé pour le dialogue social en Europe a été franchie récemment. Le 5 mars a en effet été signé officiellement le Pacte pour le Dialogue Social Européen par les partenaires sociaux de l’UE et la Commission européenne. Cet accord vise à renforcer les échanges entre représentants des travailleurs et employeurs européens et à accroitre le rôle des partenaires sociaux dans l’élaboration des politiques sociales et de l’emploi au sein de l’Union européenne.
Le 26 février dernier, la Commission européenne a présenté un projet de directive "Omnibus", qui remet en cause les règles du Pacte vert pour les entreprises, en ciblant notamment le reporting de durabilité (CSRD), le devoir de vigilance (CSDDD) et la taxonomie européenne. L’UNSA, aux côtés de la Confédération européenne des syndicats et des organisations syndicales françaises, exprime sa profonde inquiétude face à cette remise en cause de règles votées démocratiquement, qui sous couvert de simplification, vient affaiblir la responsabilité des entreprises et leur obligation d’agir au sujet de l’impact de leurs activités sur l’environnement et les droits humains.
Le président Loukachenko a été réélu fin janvier. Cela n’augure rien de bon pour les opposants politiques ni pour les militants syndicaux détenus en prison. Leurs conditions de détention sont incompatibles avec le respect des droits humains.
L’UNSA cosigne ce jour une déclaration intersyndicale de solidarité avec la résistance des travailleurs et travailleuses d’Ukraine. Trois ans après la déclaration de guerre par la Russie, seul un processus de paix dans le respect du droit international est acceptable. Nous appelons à participer aux initiatives unitaires organisées en France, notamment à la marche pour l’Ukraine, le dimanche 23 février 2025 à Paris au départ de la place de la République à 14 heures.
Depuis son acquisition par Elon Musk, le réseau social X (anciennement Twitter) est devenu le théâtre d’une transformation inquiétante. Sous prétexte de défendre une conception absolue de la liberté d’expression, le milliardaire s’emploie à promouvoir des idées et des partis d’extrême droite. Il utilise pour cela son argent, la puissance de son réseau ainsi que son pouvoir renforcé par l’élection de Donald Trump. Pour l’UNSA cette stratégie constitue une attaque directe contre les valeurs universalistes et représente une menace pour les démocraties. Il faut agir.
L’UNSA, avec le collectif intersyndical français de défense des travailleurs iraniens, dénonce le harcèlement des syndicalistes iraniens, notamment de l’enseignement.
Nous appelons le gouvernement iranien à respecter les libertés fondamentales dont les droits syndicaux. Face aux dérives de ce régime, la solidarité internationale est plus que jamais indispensable. L’UNSA demande la libération sans conditions de ces militants.
L’accord commercial entre l’Union européenne (UE) et le Mercosur* a été finalisé le 6 décembre à Montevideo par la Commission européenne et les pays du marché commun du sud. Pour l’UNSA, cet accord doit être rejeté dans sa forme actuelle.
En ce 18 décembre, Journée internationale des migrants, l’UNSA réaffirme son attachement indéfectible au droit d’asile. Les flux migratoires et leur régulation doivent absolument respecter la dignité humaine.
Une directive datant de 2009 encadre le fonctionnement des Comités d’entreprise européen. Sa révision, attendue de longue date, devrait permettre d’étendre les droits des travailleurs.euses sur les questions transnationales dans les entreprises multinationales employant au moins 1000 personnes, et de permettre l’application de sanctions en cas de non- respect des règles.
Elle est aujourd’hui remise en cause par des eurodéputé.es d’extrême droite, pour qui les droits des travailleurs.euses et la négociation collective ne sont décidément pas une priorité.
Le Bureau international du travail (BIT) a officialisé la reconnaissance de la Palestine, en réponse à la résolution ES-10/23 de l’Assemblée générale des Nations Unies. Elle valide l’éligibilité de la Palestine à l’adhésion aux Nations unies.
La COP29, Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, qui se tenait cette année à Bakou en Azerbaïdjan, s’est achevée le 24 novembre au terme d’un processus chaotique. Alors que les effets du réchauffement climatique s’aggravent, les pourparlers n’ont pas dégagé d’accord satisfaisant qui réponde aux exigences et à l’urgence de la crise climatique.
Eurocadres tenait son Assemblée générale à Rome le 22 novembre dernier. Eurocadres -ou Conseil des cadres- représente cette catégorie de travailleurs au niveau européen. Reconnu par la Commission européenne comme partenaire social, Eurocadres participe aux négociations des accords conclus avec les employeurs. Il est étroitement associé à la Confédération européenne des syndicats, dont l’UNSA est membre.
Le 20 novembre, Journée internationale des droits de l’enfant, est l’occasion de rappeler l’engagement de l’UNSA en faveur de la protection et de la promotion de leurs droits fondamentaux.
Dans un contexte international tendu, complexe et instable, la liberté et les libertés fondamentales – particulièrement celles des femmes – sont attaquées de toute part à travers le monde.
Le Comité économique et social européen (CESE) vient d’adopter l’avis exploratoire « Assurer pour tous un équilibre entre vie professionnelle et vie privée fondé sur les besoins : comment des conditions de travail flexibles adéquates peuvent soutenir la solidarité intergénérationnelle et l’autonomisation des femmes », commandé par la présidence hongroise de l’Union européenne (UE).
L’UNSA participait à la dernière réunion du Comité exécutif de la CES qui se tenait à Bruxelles les 15 et 16 octobre derniers.
Cette instance réunissant des responsables syndicaux de plus de quarante pays était l’occasion d’aborder plusieurs sujets stratégiques pour le mouvement syndical européen : la nouvelle Commission européenne, ainsi que le rapport Draghi, et les stratégies syndicales pour le nouveau mandat.
Les chiffres sont sans appel. Jamais autant de personnes migrantes n’ont perdu la vie en mer. Que ce soit en Méditerranée pour atteindre l’Europe ou en Manche pour se rendre en Angleterre, les embarcations se transforment en mouroir. Depuis janvier, on a déjà atteint le nombre de décès enregistré pour l’année 2023.
Le 22 septembre dernier, une explosion dans une mine de charbon en Iran faisait 52 morts et 20 blessés. L’UNSA réagit avec l’intersyndicale française. Dans cette déclaration commune, nous exprimons notre solidarité avec les travailleur·euses mobilisé·es et les syndicats iraniens. Nous soutenons leur demande de mesures permettant de protéger la vie des mineurs, ainsi que d’inspections sérieuses. Ces tragédies ne devraient pas se répéter.
Le 7 octobre 2023, le Hamas menait une attaque terroriste sans précédent en Israël : 1 200 personnes ont été massacrées et il reste encore aujourd’hui près de 97 otages israéliens détenus dans la bande de Gaza. Un an après ces ignobles attaques terroristes, la guerre fait rage. L’État d’Israël avait le droit de se défendre mais la surenchère guerrière engagée depuis laisse craindre un embrasement généralisé de la région. Les civils en sont les premières victimes. Leur nationalité importe peu, israéliens, palestiniens, libanais, gazaouis et peut-être demain iraniens, ils sont tous pris dans les feux des belligérants.
Onze ans après le dramatique accident du Rana Plaza et ses quelque 1100 morts, les ouvriers et ouvrières du textile sont toujours empêchés.ées de défendre leurs droits.
Réélue en juillet dernier à la présidence de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a présenté ce mardi 17 septembre, devant le Parlement européen à Strasbourg, la composition de la prochaine commission européenne, ainsi que les portefeuilles attribués aux 26 commissaires désigné.es.
Les 10 et 11 septembre derniers, l’UNSA participait au Sommet du Labour 7 (ou L7), à Cagliari en Sardaigne, en marge du G7 Social.
L’occasion de débattre et de porter la voie des millions de travailleurs de ces pays, notamment sur les questions d’intelligence artificielle et d’économie du soin
L’obscurantisme taliban continue d’assombrir le ciel des femmes afghanes. Revenus au pouvoir en 2021, les talibans n’ont cessé de réduire les droits des femmes et leur accès à l’éducation ou à l’emploi. Une loi promulguée le 22 août dernier renforce les interdictions, les femmes étant le cœur de cible des 35 articles.
En cette période de frappes aériennes russes toujours plus meurtrières, un nouveau convoi solidaire vient d’être envoyé en Ukraine. Ces frappes affectent particulièrement les infrastructures électriques, aussi, pour aider à faire face aux nombreuses coupures d’électricité, ce troisième convoi comprend plusieurs dizaines de stations électriques et des groupes électrogènes.
Du 6 au 9 juin 2024, 360 millions d’électeurs et d’électrices des 27 États membres de l’Union européenne (UE) étaient appelés.es à voter pour le renouvellement du Parlement européen. Au total, 720 eurodéputés.es ont été élus.es au suffrage universel direct, dont 81 pour la France.
À l’issue du vote, les partis pro-européens restent les plus nombreux mais les droites radicales et extrêmes sont arrivées en tête dans cinq pays et représentent un quart des sièges, fait inédit dans cet hémicycle européen. Au niveau français, le score sans précédent de l’extrême droite conduit à la dissolution de l’Assemblée nationale, entraînant une crise politique nationale majeure.
Le 9 juin 2024, les électeurs français seront appelés à voter pour élire leurs représentants au Parlement européen pour les cinq années à venir.
Entre crises multiples et enjeux considérables, l’Europe a besoin d’un nouveau contrat social qui réunisse citoyens et institutions autour d’un projet commun centré sur l’humain.
Elle avait été proposée par la Commission européenne en février 2022 sous la pression du Parlement européen. La négociation entre le Conseil de l’Union européenne (UE) et le Parlement européen sur la proposition de directive encadrant le devoir de vigilance des entreprises européennes avait abouti à un accord provisoire le 14 décembre 2023. Lequel devait faire l’objet d’une adoption formelle par les Etats membres le 9 février dernier.
En Argentine, la situation est catastrophique depuis l’arrivée au pourvoir de Javier Milei. La démocratie et les droits fondamentaux sont démantelés. Les citoyennes et citoyens, à commencer par les travailleuses et travailleurs et leurs représentants, sont les premiers visés.
Le 12 décembre dernier, l’UNSA était mobilisée aux côtés de manifestant.e.s de 30 pays et de la Confédération européenne des syndicats, pour rappeler son opposition aux mesures d’austérité.
De nombreuses délégations de la CES, de syndicats et fédérations sectorielles d’une vingtaine de pays européens étaient présents à Paris le 13 octobre dernier pour manifester auprès des syndicats français sous le mot d’ordre "CONTRE l’austérité, POUR la justice sociale".
Contre l’austérité en Europe et pour un nouveau modèle économique et social qui place les travailleurs au premier plan.
Signez la pétition :
https://lien.unsa.org/stopausterite
Dans son discours annuel sur l’état de l’Union européenne (UE), prononcé au Parlement européen à Strasbourg le 13 septembre, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a fait le bilan de la mandature écoulée. Elle a notamment parlé de plusieurs avancées en matière d’égalité femmes-hommes, mentionnant la ratification par l’UE de la Convention d’Istanbul et l’adoption de la directive sur la transparence salariale.
À neuf mois des élections européennes qui auront lieu en juin 2024, Réalités du dialogue social lance un cycle de rendez-vous sur l’Europe.
Le lancement de ce cycle de rendez-vous européens aura lieu le 26 septembre et se tiendra jusqu’aux élections du 9 juin 2024.
L’UNSA, la CFDT, la CGT, FO, la CFE-CGC, et la CFTC expriment leur mécontentement face à la confirmation de la présidence de la conférence internationale du travail par le gouvernement du Qatar qui a ouvert ses travaux le 5 juin dernier.
Comme chaque année, la Conférence internationale du travail (CIT) est l’occasion pour les exilé.e.s iranien.ne.s de se réunir place des Nations à Genève. S’y associent des organisations syndicales françaises et suisses qui expriment leur solidarité avec les militants syndicaux réprimés et emprisonnés en Iran et pour interpeller les institutions internationales, en particulier l’Organisation internationale du travail (OIT).
« Seul le peuple iranien est capable d’établir les éléments fondateurs d’une société nouvelle et moderne ».
Cette déclaration ne se limite pas à dénoncer la répression sanglante et le despotisme religieux, elle s’accompagne de nombreuses revendications réalisables immédiatement.
Cela fait maintenant 18 mois que Vladimir Poutine a déclaré la guerre à l’Ukraine. 18 mois que les pertes civiles et militaires se multiplient et que plus de 12 millions d’ukrainiens ont dû fuir leurs maisons, la moitié s’étant réfugiée hors de leur pays.
Le congrès de la Confédération européenne des Syndicats (CES) vient de se terminer après une semaine de débats sur le rapport d’activités, sur le programme d’action pour les 4 années à venir, sur l’adoption d’une Charte des Valeurs et de 9 résolutions d’urgence, émaillés de moments de solidarité notamment avec l’Ukraine, la Biélorussie et la Turquie.
L’UNSA réitère sa solidarité avec le peuple iranien dans la défense de ses droits et de ses libertés fondamentales.
Dans la continuité du mouvement de protestation des iraniennes et des iraniens né de la mort Mahsa Amini sous les coups du régime iranien pour une mèche de cheveux visible, vingt organisations indépendantes iraniennes (syndicats, enseignants, retraités, travailleurs, étudiants ...) se sont rassemblées le 15 février 2023 pour signer et publier une déclaration portant leurs principales revendications pour un pays libre et démocratique.
Cela fait un an que Vladimir Poutine a déclaré la guerre à l’Ukraine. Un an que les pertes civiles et militaires se multiplient et que plus de 12 millions d’ukrainiens ont dû fuir leurs maisons, la moitié s’étant réfugiée hors de leur pays.
La Confédération européenne des syndicats (CES), dont l’UNSA est membre, appelle à faire du mois d’octobre un mois de manifestations et d’actions, pour mettre fin à la crise du coût de la vie.
Un projet de règlement ambitieux à l’initiative de la Commission européenne pour interdire les produits issus du travail forcé, entre en phase de discussion tripartite.
Sous l’impulsion de la présidence française de l’Union européenne, la directive sur les salaires minimums en Europe est en passe d’aboutir. Elle vient d’être adoptée par le Parlement européen à une large majorité et entrera en vigueur à l’issue de quelques autres votes formels.
L’UNSA a participé le 28 juin à la réunion de présentation du Global Deal France sur la coopération multilatérale dans le cadre d’un dialogue social international en présence du ministre du Travail.
Le Global Deal, dont l’UNSA est membre* a vocation à encourager un dialogue multisectoriel entre les partenaires et à dégager des réponses concrètes pour concilier performances économiques et progrès social.
Les délégués des travailleurs, employeurs et gouvernements de 187 pays, membres de l’Organisation internationale du travail (OIT), sont réunis depuis le 27 mai à Genève, et à distance, à l’occasion de la 110ème session de la Conférence internationale du travail (CIT).
En 2022, la journée de l’Europe revêt une dimension bien particulière. Pandémie, guerre et crises multiples nous rappellent la nécessité d’une union plus forte, plus solidaire et plus sociale, ancrée dans ses valeurs humanistes et démocratiques. L’UNSA réaffirme, à cette occasion, son attachement profond au projet européen et en appelle à une Europe plus proche et plus protectrice de ses citoyen.ne.s.
Les organisations syndicales UNSA, CGT, CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC, FSU, Solidaire développent des actions concrètes de solidarité avec la population d’Ukraine et organisent un convoi intersyndical par train.
L’engagement social de Porto et la déclaration de Porto à l’issue du Sommet social des 7 et 8 mai 2021, redonnent confiance en une Europe plus sociale et plus protectrice de ses citoyens.ne.s, à laquelle l’ UNSA aspire.
Fêtée pour la première fois en 1986, le 9 mai est la journée de l’Europe. Elle a pour objectif de célébrer la paix et l’unité, et de rapprocher l’Europe et ses institutions des citoyen•ne•s.
Souhaitée et impulsée par la France, la Conférence sur l’avenir de l’Europe, annoncée par Ursula von der Leyen à sa prise de fonction en tant que présidente de la Commission européenne, sera inaugurée le 9 mai prochain, à l’occasion de la Journée de l’Europe.
L’UNSA, qui croit en un dialogue social de qualité pour répondre aux défis mondiaux et qui pratique un dialogue social responsable, rejoint le Global Deal, forum d’échanges multipartite de niveau international en faveur du dialogue social, comme outil de croissance inclusive et soutenable, en accord avec l’Agenda 2030 et les Objectifs de Développement Durable.
"Comment pouvons-nous estimer quel sera exactement le pourcentage des fonds de relance dépensé pour les jeunes ?" C’est la question posée par Tea Jarc, présidente du Comité jeunes de la CES (confédération européenne des syndicats), au commissaire européen Nicolas Schmit lors d’une conférence sur les jeunes et les plans de relance, lundi 15 février.
Après 48 ans d’aventures communes souvent agitées, 5 ans d’âpres négociations et la peur d’une sortie en no-deal tout au long de 2020, dans un contexte de pandémie et de récession économique, les Britanniques ne sont plus européens depuis le 1er janvier 2021. Cet événement a été salué par les gongs de Big Ben, remise en service pour l’occasion. Quelles répercussions pour nos entreprises et les citoyennes ?
C’est la France qui présidera l’Union Européenne du 1er janvier au 30 juin 2022. “Invitée par erreur” puis “réintégrée” au processus d’échanges entre le gouvernement et les organisations syndicales à ce sujet, l’UNSA fait valoir ses exigences pour une Europe plus sociale, plus écologique, plus solidaire et plus forte, et parfois plus ferme sur ses valeurs humanistes et démocratiques.
La France serait prête à rentrer dans les discussions concernant la mise en œuvre de l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur* à la condition que certains engagements soient pris en matière environnementale. Pour l’UNSA, cet accord doit être remis aux oubliettes ou être complètement revu.
Alors que les conséquences du confinement n’ont pas fini de se faire sentir et qu’une seconde vague de la Covid-19 se précise, il y a urgence à mettre en œuvre le plan de relance européen.
Le Parlement européen somme la Commission européenne de travailler à un cadre juridique imposant aux entreprises des contraintes nouvelles, pour la forêt européenne et surtout pour la forêt mondiale.
La session plénière constitutive des 27, 28 et 29 octobre 2020 a fixé l’organisation du Comité économique et social européen, ainsi que la composition des groupes, des sections de travail et autres commissions pour les deux années et demi à venir. L’UNSA, qui bénéficie pour la première fois d’un membre à l’occasion de cette mandature 2020-2025, y prend toute sa place.
Conformément à son engagement de début de mandat, dont elle avait fait une priorité, la Commission européenne, après consultation des partenaires sociaux, a proposé ce 28 octobre un projet de directive qui vise à guider les Etats membres dans la fixation de salaires minimums équitables.
En écho à la Journée mondiale pour l’abolition de la peine de mort (10 octobre), et à la déclaration commune pour la libération des prisonniers politiques et d’opinion en Iran, l’UNSA avec le collectif syndical français regroupant la CFDT, la CGT, la FSU, Solidaires, exprime sa solidarité avec les victimes de la répression en Iran.
Dans une conjoncture économique bouleversée et une crise sanitaire mondiale inédite, fragilisant les plus vulnérables, creusant les inégalités et accentuant la pauvreté, plus que jamais, le travail décent, célébré ce 7 octobre, doit être au cœur du monde d’après.
Afin de peser sur les décisions que prendront les membres du Conseil européen réunis le 19 juin 2020 pour adopter le plan de relance de 750 milliards d’euros proposé par la Commission européenne, qui prévoit notamment la création d’un instrument financier commun, la Confédération Européenne des Syndicats (CES) a mobilisé l’ensemble de ses affiliés pour interpeller en même temps dans chaque Etat membre chacun des gouvernements.
Dans le cadre du semestre européen, le Conseil européen, sur proposition de la Commission, fait des recommandations pour la France en rapport avec le programme national de réforme et le programme de stabilité pour 2020 présentés au début du mois de mai par le Gouvernement.
Les organisations syndicales françaises et allemandes s’unissent pour revendiquer une réponse européenne, commune, durable et solidaire, à la hauteur de la crise sociale et économique inédite que nous vivons, consécutive à la crise sanitaire de Covid-19, et des enjeux technologiques et environnementaux auxquels nos sociétés sont confrontées.
Dans un contexte de confinement quasi généralisé dans le monde entier pour faire face à la pandémie de Covid-19, la Confédération Syndicale Internationale (CSI) en appelle, pour la journée internationale des travailleurs, à la solidarité pour un seul monde et une relance de l’économie mondiale basée sur les emplois, les revenus et la protection sociale.
Anticiper les mutations pour sécuriser les salarié·e·s et assurer la justice sociale, telles ont été les préconisations de l’ UNSA, sur les deux sujets de travail, lors de ce rendez-vous syndical bilatéral.
L’UNSA, attachée à la mise en place d’une Europe sociale, démocratique et économique, salue l’inscription des questions sociales au cœur de la Conférence sur l’avenir de l’Europe.
Le Comité jeunes de la Confédération européenne des syndicats (CES) s’est réuni le 16 décembre dernier, pour procéder notamment à l’élection du bureau pour les deux prochaines années.
Un comité exécutif de la CES s’est tenu les 22 et 23 octobre 2019 à Bruxelles.
L’UNSA y était représentée par Rachel Brishoual, Secrétaire nationale en charge du secteur Europe-International.