Alors que les conséquences du confinement n’ont pas fini de se faire sentir et qu’une seconde vague de la Covid-19 se précise, il y a urgence à mettre en œuvre le plan de relance européen.
Alors que les conséquences du confinement n’ont pas fini de se faire sentir et qu’une seconde vague de la Covid-19 se précise, il y a urgence à mettre en œuvre le plan de relance européen.
Le Parlement européen somme la Commission européenne de travailler à un cadre juridique imposant aux entreprises des contraintes nouvelles, pour la forêt européenne et surtout pour la forêt mondiale.
La session plénière constitutive des 27, 28 et 29 octobre 2020 a fixé l’organisation du Comité économique et social européen, ainsi que la composition des groupes, des sections de travail et autres commissions pour les deux années et demi à venir. L’UNSA, qui bénéficie pour la première fois d’un membre à l’occasion de cette mandature 2020-2025, y prend toute sa place.
Conformément à son engagement de début de mandat, dont elle avait fait une priorité, la Commission européenne, après consultation des partenaires sociaux, a proposé ce 28 octobre un projet de directive qui vise à guider les Etats membres dans la fixation de salaires minimums équitables.
En écho à la Journée mondiale pour l’abolition de la peine de mort (10 octobre), et à la déclaration commune pour la libération des prisonniers politiques et d’opinion en Iran, l’UNSA avec le collectif syndical français regroupant la CFDT, la CGT, la FSU, Solidaires, exprime sa solidarité avec les victimes de la répression en Iran.
Dans une conjoncture économique bouleversée et une crise sanitaire mondiale inédite, fragilisant les plus vulnérables, creusant les inégalités et accentuant la pauvreté, plus que jamais, le travail décent, célébré ce 7 octobre, doit être au cœur du monde d’après.
Afin de peser sur les décisions que prendront les membres du Conseil européen réunis le 19 juin 2020 pour adopter le plan de relance de 750 milliards d’euros proposé par la Commission européenne, qui prévoit notamment la création d’un instrument financier commun, la Confédération Européenne des Syndicats (CES) a mobilisé l’ensemble de ses affiliés pour interpeller en même temps dans chaque Etat membre chacun des gouvernements.
Dans le cadre du semestre européen, le Conseil européen, sur proposition de la Commission, fait des recommandations pour la France en rapport avec le programme national de réforme et le programme de stabilité pour 2020 présentés au début du mois de mai par le Gouvernement.
Les organisations syndicales françaises et allemandes s’unissent pour revendiquer une réponse européenne, commune, durable et solidaire, à la hauteur de la crise sociale et économique inédite que nous vivons, consécutive à la crise sanitaire de Covid-19, et des enjeux technologiques et environnementaux auxquels nos sociétés sont confrontées.
Dans un contexte de confinement quasi généralisé dans le monde entier pour faire face à la pandémie de Covid-19, la Confédération Syndicale Internationale (CSI) en appelle, pour la journée internationale des travailleurs, à la solidarité pour un seul monde et une relance de l’économie mondiale basée sur les emplois, les revenus et la protection sociale.
Anticiper les mutations pour sécuriser les salarié·e·s et assurer la justice sociale, telles ont été les préconisations de l’ UNSA, sur les deux sujets de travail, lors de ce rendez-vous syndical bilatéral.
L’UNSA, attachée à la mise en place d’une Europe sociale, démocratique et économique, salue l’inscription des questions sociales au cœur de la Conférence sur l’avenir de l’Europe.
Le Comité jeunes de la Confédération européenne des syndicats (CES) s’est réuni le 16 décembre dernier, pour procéder notamment à l’élection du bureau pour les deux prochaines années.
Un comité exécutif de la CES s’est tenu les 22 et 23 octobre 2019 à Bruxelles.
L’UNSA y était représentée par Rachel Brishoual, Secrétaire nationale en charge du secteur Europe-International.