Si le taux d’illettrisme des personnes âgées de 18 à 64 ans est passé de 7% en 2011 à 4% en 2022, ce qui est encourageant, il reste cependant environ 1,4 million de personnes illettrées, notamment dans le monde du travail.
S’appuyant sur (...)
Si le taux d’illettrisme des personnes âgées de 18 à 64 ans est passé de 7% en 2011 à 4% en 2022, ce qui est encourageant, il reste cependant environ 1,4 million de personnes illettrées, notamment dans le monde du travail.
S’appuyant sur (...)
Alors que la croissance de l’apprentissage s’est faite surtout au profit des formations supérieures et au détriment des contrats de professionnalisation, une nouvelle étude du centre d’études et de recherches sur les qualifications (CEREQ) (...)
Lors du Comité consultatif de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI), qui s’est tenu le 23 avril dernier et dont l’UNSA est membre, une présentation de la nouvelle étude INSEE Formation tout au long de la vie *(FLV) a permis d’avoir une photographie sur les difficultés rencontrées dans les domaines fondamentaux de l’écrit.
Après des semaines d’atermoiements, le gouvernement a tranché et validé le principe d’un reste à charge de 100 euros pour les salariés utilisant leur Compte personnel de formation (CPF).
La 5 e édition du baromètre de la formation et de l’emploi publiée par Centre Inffo met en avant à nouveau le déficit d’accompagnement ressenti par les actifs, pourtant de plus en plus sensibles à la nécessité de faire évoluer leurs compétences.
Pour réduire le déficit public, l’exécutif fait le choix de creuser encore plus les inégalités en demandant aux salariés de contribuer au financement de leur formation. L’UNSA s’insurge contre cette nouvelle coupe budgétaire et réaffirme son opposition à un reste à charge sur le compte personnel de formation (CPF).
A l’issue de plusieurs phases d’expérimentations, le nouveau service public France VAE compte bien redonner un élan à un dispositif jugé trop complexe.
L’étude* publiée en juillet dernier, « L’entreprise face à l’enjeu compétences : ce que nous enseigne les travaux du Cereq », pointe les manques de notre système de formation professionnelle qui pénalise toujours les moins qualifiés.
L’UNSA a assisté le 29 juin dernier à l’assemblée générale de France compétences, l’occasion d’exposer pour le Président du CA et son directeur général le bilan de l’activité en 2022 et du premier semestre 2023.
Performance des dispositifs, financement, gouvernance et place des partenaires sociaux… Le dernier rapport de la Cour des comptes confirme les critiques et les réserves émises par l’UNSA sur la réforme « Pour la liberté de choisir son avenir professionnel ».
Accompagner, former les salariés et demandeurs d’emploi aux compétences de base constitue un véritable enjeu pour l’accès et le maintien dans l’emploi.
Christine Savantré et Patrice Bédouret, conseillers nationaux, ont représenté l’UNSA à l’UHFP du 25 au 27 janvier derniers qui s’est déroulée à Cannes.
Le dernier baromètre de Centre Inffo montre une baisse de la confiance des actifs en leur avenir professionnel et une relative stabilité de leur opinion et de leur niveau d’information sur la formation professionnelle et ses outils. Les chômeurs, les séniors, les moins qualifiés s’estiment eux moins informés et plus demandeurs d’accompagnement.
Une étude France compétences - DARES contredit l’argumentaire avancé par le gouvernement pour imposer un reste à charge aux actifs lorsqu’ils utilisent leur CPF.
Le Projet de loi portant mesures d’urgence relatives au fonctionnement du marché du travail en vue du plein emploi a été adopté le 17 novembre 2022. Afin de rendre plus attractif le dispositif VAE, celui-ci est profondément réformé.
La nouvelle évaluation du PIC met en lumière la forte augmentation des entrées en formation des demandeurs d’emploi depuis 2019 et parallèlement un impact décevant pour les moins qualifiés d’entre eux.
L’UNSA s’oppose à toute mesure qui obligerait le salarié à financer le reste à charge du coût d’une formation dans le cadre de son CPF (Compte personnel de formation). Ce principe est envisagé par l’exécutif. Un amendement au projet de budget 2023 introduit un “mode de régulation” pour mobiliser et financer son CPF.
La formation professionnelle a toujours été un terrain propice au développement d’organisations et de pratiques sectaires. Le dernier rapport de la MIVILUDES montre la persistance de tels phénomènes, malgré une généralisation des contrôles notamment qualité.
L’UNSA se félicite de l’adoption en première lecture, par l’Assemblée nationale, du projet de loi visant à lutter contre les abus et les fraudes au Compte personnel de formation (CPF).
La 15 ème Journée du refus de l’échec scolaire (JRES) organisée par l’AFEV et l’ANAF s’est concentrée sur les inégalités d’accès à l’apprentissage et sur les moyens à développer pour sécuriser les parcours des jeunes les plus éloignés de l’emploi.
Alors que la fraude au Compte Personnel de Formation ( CPF) et les pratiques commerciales abusives perdurent, l’UNSA mobilisée sur ce sujet depuis plusieurs mois accueille avec intérêt le projet de loi déposé par les députés de la majorité présidentielle.
Soutenabilité financière, effets d’aubaine pour certaines entreprises, difficultés d’accès pour les jeunes les moins qualifiés et les plus fragiles, … Le dernier rapport de la Cour des comptes sur la formation en alternance pointe des problèmes identifiés également par l’UNSA.
La dernière étude sur le marché du travail de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) confirme les inquiétudes de l’ UNSA sur un nouveau modèle de l’apprentissage dopé par les aides et ne profitant pas aux jeunes les plus éloignés de l’emploi.
Dans un contexte de mutation du travail, le dernier baromètre de la formation professionnelle de Centre inffo montre toujours une envie de changement de la part des actifs, voire de reconversion ainsi qu’une demande forte d’information et d’accompagnement.
Depuis plusieurs mois, l’UNSA alerte sur les préjudices subis par les titulaires du Compte personnel de formation (CPF). Le gouvernement présente enfin un plan d’actions …
Importance du diplôme, de la spécialité, de l’origine familiale : une récente étude de la DARES pointe les principaux facteurs clés de succès pour l’insertion professionnelle des apprentis du niveau CAP à BTS, six mois après leur sortie du système éducatif.
Un premier bilan de la nouvelle formule du Compte personnel de formation (CPF) montre une forte augmentation des entrées en formation et un élargissement des publics bénéficiaires, notamment les non-cadres. Cependant, l’accompagnement reste encore largement à améliorer et des inquiétudes subsistent sur le financement.
Les employeurs, dans une nouvelle étude Ipsos pour Le Projet Voltaire, pointent les lacunes dans la maitrise du français de nombre de salariés. Assurer cette compétence de base doit être une priorité pour tous les acteurs concernés publics et privés.
Après plusieurs jours de confusion liés à des bugs informatiques, la période de saisie des heures « Droits individuels à la formation » vers le Compte personnel de formation est désormais terminée. L’UNSA attend maintenant du ministère du Travail les statistiques définitives du nombre réel d’actifs ayant pu transférer leurs droits.
Au vu des bugs rencontrés sur le site « moncompteformation », le ministère du travail a annoncé un report de la date-butoir, initialement fixée au 30 juin, pour le transfert des Droits individuels à la formation (DIF) vers le Compte personnel de formation (CPF). L’UNSA demande une clarification sur le délai accordé et invite les actifs à continuer à transférer leurs droits sur le site dédié.
Méthodes de démarchage illégales, pression commerciale, usurpation d’identité, …les titulaires du CPF subissent de nombreux préjudices depuis plusieurs mois. Pour l’UNSA, la vigilance s’impose et l’accompagnement des salarié·es n’en est que plus indispensable.
Le ministère du Travail vient de présenter un bilan à mi-parcours du Plan d’Investissement dans les Compétences (PIC). À un an de l’échéance on est encore loin de l’objectif des 2 millions de personnes formées. Pour l’UNSA, dans un contexte économique plus qu’incertain en raison notamment de la crise sanitaire, il y a urgence à ce que l’Etat prenne des mesures pour atteindre l’objectif.
La Garantie jeunes est aujourd’hui un droit limité sous conditions, elle n’est pas accessible à tous.
Publics cibles : 16 à 25 ans ni en emploi, ni en études, ni en formation : 200 000 places en 2021. Rémunération mensuelle : 497 euros (...)
Connaitre l’opinion des actifs à l’égard de l’orientation, de la formation, leur perception par rapport aux perspectives éventuelles de reconversions professionnelles, tels sont les objectifs assignés à ce baromètre réalisé par le CSA (chiffres janvier 2021 vs janvier 2020) auprès de 1 600 actifs français.
Après une année 2020 très perturbée par la crise sanitaire et un marché de l’emploi très impacté dans de nombreux secteurs, les principaux enseignements de l’étude confirment les positions développées par l’UNSA ces dernières années, notamment sur le déficit d’information et d’accompagnement des actifs.
Les femmes accèdent moins facilement à la formation professionnelle que les hommes. C’est ce que confirment les dernières études disponibles de la DARES et du Conseil supérieur de l’égalité professionnelle. À l’occasion de la Journée des droits de la femme, ce sujet doit être pris à bras-le-corps. Pour l’ UNSA, ce droit à la formation pour toutes est un enjeu majeur, à l’heure où les effets de la crise sanitaire peuvent avoir des répercussions importantes sur l’emploi et notamment sur les transitions professionnelles.
Selon les premiers chiffres, le bilan quantitatif des abondements d’entreprises au compte personnel de formation (CPF) des salarie.es est encore modeste. Pour l’UNSA cette nouvelle possibilité de cofinancement pose également de nombreuses questions.
Alors que la ministre du Travail Elisabeth Borne se félicite de chiffres records pour l’apprentissage en 2020, une autre réalité se cache derrière ces annonces. La difficulté à trouver une entreprise d’accueil pénalise en effet aujourd’hui des milliers de jeunes. L’UNSA s’inquiète de leur situation et demande des solutions rapides.
Les heures capitalisées au titre du Droit individuel la formation (DIF) peuvent être utilisées sans aucune limite dans le temps.
Attention, ce n’est pas automatique.
Ces heures doivent avoir été déclarées sur le Compte personnel de formation (CPF) avant le 30 juin 2021.
L’UNSA partage globalement les priorités du plan de relance en particulier pour les jeunes mais pointe des insuffisances sur les reconversions professionnelles, les freins périphériques et l’absence de contreparties de la part des entreprises.
-10 avril 2020- Un nouveau décret permet de prolonger jusqu’à 35 ans l’âge limite pour conclure un second contrat d’apprentissage. L’UNSA s’inquiète de possibles effets d’aubaine.
-03 avril 2020- Pour faire face à l’épidémie de Covid-19 sur le champ de la formation professionnelle, l’ordonnance n° 2020-387 du 01/04/2020 (publiée au JO du 2/04/2020) permet l’adaptation de certaines dispositions de la loi « Pour la liberté de choisir son avenir professionnel » du 5 septembre 2018.
Depuis le 16 mars 2020, les mesures de confinement ont des conséquences pratiques sur votre parcours de formation. Retrouvez dans la Foire aux questions ci-dessous les premiers éléments de réponse (mise à jour le 31 mars 2020).
D’après les chiffres communiqués le 4 février dernier par le ministère du Travail, le nombre de jeunes entrés en apprentissage ferait un bond de 16%, soit 350 000 nouveaux contrats signés en 2019...
Le Plan d’investissement dans les compétences doté de 15 milliards d’euros sur 5 ans se fixe pour objectifs de former 1 million de demandeurs d’emploi peu ou pas qualifiés et 1 million de jeunes éloignés du marché du travail. Ce dispositif national est décliné au niveau régional.
novembre 2019 - Avec la sortie en grandes pompes de l’application « Mon compte formation » le 21 novembre, le Gouvernement fait le pari d’une meilleure facilité d’accès à la formation, notamment pour les personnes les plus éloignées de l’emploi.
Les 25 et 26 septembre dernier, la Commission européenne et la Fondation européenne pour la formation (ETF) ont organisé à Skopje en Macédoine du nord, le 4ème séminaire régional, l à l’intention des pays candidats à l’adhésion à l’Union Européenne (UE).
Le projet de Loi « Pour la liberté de choisir son avenir professionnel » a été définitivement adopté le 1er août.
Cependant, le Conseil Constitutionnel a été saisi et a un délai de 1 mois pour rendre sa décision.
Ce texte comporte un volet formation professionnelle, apprentissage, assurance chômage mais aussi égalité professionnelle Homme / Femme, handicap et travail détaché.
L’UNSA a été reçue au Sénat, le 12 juin, par les rapporteurs du projet de Loi pour « la liberté de choisir son avenir professionnel ».
Vanessa Jereb, Secrétaire nationale, Christine Savantré et Jean-Louis Blanc, Conseillers nationaux, ont fait un point sur les incohérences perçues sur le texte en l’état et sur les interrogations diverses que cela entraîne après le passage à la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale.
Le projet de loi pour « la liberté de choisir son avenir professionnel » a été adopté par le Conseil des ministres le 27 avril, après son passage devant le Conseil d’État.
Celui-ci émet des réserves sur les dispositions du volet assurance chômage sur les indépendants, le financement du régime et l’offre raisonnable d’emploi.
5 mars 2018 - La Ministre du Travail vient d’annoncer ses arbitrages concernant la réforme de la formation professionnelle qui, pour une large part, reprend l’esprit de l’accord négocié par les partenaires sociaux.
L’UNSA souligne le renforcement du Conseil en Evolution Professionnelle (CEP) et du Compte Personnel de Formation (CPF), mais sa monétisation pose question, notamment pour garantir l’équité d’accès à la formation.
La négociation sur la réforme de la formation professionnelle vient de s’achever dans un contexte de calendrier contraint, afin de respecter le timing accéléré imposé par l’exécutif.
L’UNSA est satisfaite que les négociations aient pu donner plus de poids au Conseil en Evolution Professionnelle (CEP), en prévoyant un financement à hauteur de 250 M€.
Pour l’UNSA, la mise en place d’un financement spécifique pour le CEP était une condition indispensable pour la réussite de cet outil, qui est la clef de voûte de l’accompagnement des parcours professionnels.
La réunion d’arbitrage sur la concertation relative à la transformation de l’apprentissage a eu lieu le 9 février en présence du Premier Ministre, de la Ministre du Travail, du Ministre de l’Education nationale et de la Ministre de l’Enseignement supérieur.
L’UNSA y était représentée par Luc Berille, Secretaire général et Vanessa Jereb, Secretaire nationale.
Sur la base du rapport présenté le 30 janvier dernier, le gouvernement a présenté ses arbitrages, indiquant toutefois que la négociation sur la Formation professionnelle en cours apportera certaines précisions.
Centre Inffo organise tous les 2 ans l’Université d’Hiver de la Formation professionnelle rassemblant l’ensemble de ses acteurs.
C’est ainsi que plus de 1000 participants ont assisté à cet événement à Biarritz, parmi eux, Vanessa JEREB, secrétaire nationale UNSA.
En cette année de forte interrogation sur l’issue de la négociation sur la Formation professionnelle et l’apprentissage, cet événement a permis à chaque participant de rappeler l’importance de ce dossier.
L’UNSA a pris connaissance du rapport sur l’apprentissage remis aux partenaires sociaux le 30 janvier.
Une plus grande transparence sur les indicateurs d’insertion professionnelle, un accompagnement renforcé des apprentis et des entreprises, une reconnaissance accrue de la fonction de maître d’apprentissage, la volonté d’améliorer la qualité de la formation et la revalorisation de la grille de rémunération… Certaines des 44 propositions vont dans le bon sens.
En revanche, l’UNSA n’adhère pas à d’autres préconisations qui semblent marquer une régression plutôt qu’un progrès.
Le 21 décembre 2017, lors de la troisième réunion du groupe de travail traitant de la gouvernance et du financement de l’apprentissage, les représentants des Régions ont fait une intervention solennelle, en début de séance, afin d’expliquer qu’ils quittaient la concertation.
En effet, des articles parus dans la presse détaillaient les grands axes du futur projet de loi envisagé, y compris dans son volet apprentissage. Les Régions en étaient exclues au profit des branches professionnelles.
Les 3ème réunions des groupes de travail « Parcours de l’apprenti » et « Entreprises et apprentissage » ont eu lieu le 14 décembre 2017.
Les 3èmes réunions des groupes de travail « Gouvernance et financements » et « Offre de formation et de certification » ont eu lieu jeudi 7 décembre.
De nombreuses questions étaient posées qui ont occasionné des échanges riches et controversés.
Les 2èmes réunions des groupes de travail « GT1 : « Parcours de l’apprenti » et GT2 : « Entreprise et apprentissage » ont eu lieu jeudi 30 novembre.
Les premières séances des 4 groupes de travail ont eu lieu au cours de la semaine dernière.
Parcours de l’apprenti, entreprises et apprentissage, gouvernance et financement et offre de formation et de certification sont les thématiques retenues.
L’UNSA participe à tous les groupes de travail qui ont lieu toutes les semaines. Quatre séquences de travail pour chaque groupe sont prévues jusqu’au 18 janvier prochain.