Les négociations de branches visant à bénéficier pleinement du Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) sont à la peine. L’UNSA ne peut se satisfaire d’une telle situation et appelle à un sursaut.
Les négociations de branches visant à bénéficier pleinement du Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) sont à la peine. L’UNSA ne peut se satisfaire d’une telle situation et appelle à un sursaut.
À compter du 1er avril 2025, le plafond permettant d’accéder à la Complémentaire Santé Solidaire « non contributive » (C2S, ex-CMU) sera porté à 862 € par mois pour une personne seule en métropole et 959 € dans les DOM. L’UNSA dénonce une nouvelle fois un plafond de ressources injustement bas qui réserve la C2S « non contributive » aux situations d’extrême pauvreté, excluant ainsi des millions de travailleur·euse·s précaires ou de personnes vivant au bord de la précarité.
Le Sénat vient de publier un rapport d’information sur l’efficacité du contrôle des établissements d’accueil du jeune enfant (EAJE). Commandé à la suite des révélations sur des maltraitances en crèches, il met en lumière un constat : les services de protection maternelle et infantile (PMI), manquent cruellement de moyens, ce que l’UNSA a dénoncé à plusieurs reprises.
Le 14 mars dernier, le gouvernement a validé une nouvelle version du Nutri-Score. Ce système d’étiquetage nutritionnel a été introduit en 2017 pour guider les consommateur·rice·s vers des choix alimentaires plus sains. Pour l’UNSA, cette mise à jour, bien que tardive, constitue une avancée importante dans la lutte contre le surpoids et l’obésité, des défis majeurs pour la santé publique.
L’UNSA a toujours soutenu l’idée de donner la parole aux partenaires sociaux pour trouver une solution pérenne afin de revenir sur la réforme des retraites, qui demeure la principale source d’instabilité politique et de mécontentement social dans le pays. Pour l’UNSA, cette concertation devait se dérouler sans tabou, en abordant l’ensemble des sujets de manière transparente et dans une approche globale, qui inclut tous les travailleurs, qu’ils soient du secteur privé ou public.
Le Conseil constitutionnel a censuré vendredi 28 février plusieurs articles de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025, notamment celui visant à instaurer une pénalité pour les patient·e·s n’honorant pas leurs rendez-vous médicaux, surnommée « taxe lapin ».
Le Premier ministre nous a transmis hier soir, tard, une lettre dans laquelle il précise le cadre des discussions sur les retraites. Sous la pression du MEDEF et de certaines organisations syndicales de salariés, le Premier ministre a décidé que cette instance traiterait principalement du régime général excluant presque de fait toute discussion sur l’ensemble des autres régimes de retraites (fonctionnaires, régimes spéciaux, agriculteurs…).
La commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale vient d’adopter une proposition de loi visant à verser les allocations familiales dès le premier enfant. Elle sera débattue le 6 mars en séance publique. L’UNSA se félicite que sa revendication de longue date soit enfin reprise. Cependant, plusieurs points du texte posent question.
Le ministère du Travail a confirmé l’abaissement du plafond des indemnités journalières de Sécurité sociale (IJSS) de 1,8 à 1,4 SMIC. Cette mesure adoptée par décret et suspendue suite à la censure du gouvernement précédent, vient d’être publiée au Journal officiel et entrera en vigueur le 1er avril 2025. L’objectif est de réduire le coût des indemnités journalières et de diminuer le déficit de la Sécurité sociale, sans s’attaquer aux causes des arrêts de travail.
Alors que l’exécutif envisage de séparer soins palliatifs et aide à mourir en deux textes distincts, l’UNSA rappelle que cette question de société ne peut être réduite à une opposition binaire. Il s’agit avant tout de garantir à chaque personne un accompagnement digne, respectueux de sa volonté et accessible sans distinction géographique ou financière.
Un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) publié en début de semaine met en lumière l’intérêt et les défis des centres de santé en France. Ils jouent en effet un rôle crucial dans les soins de premiers secours et les actions de prévention.
Présenté comme une avancée, le Service public départemental de l’autonomie (SPDA) risque de décevoir. Son cahier des charges, actuellement en concertation, n’est pas contraignant pour les acteurs locaux. L’UNSA réaffirme la nécessité d’une réforme structurelle et d’une loi de programmation à la hauteur des défis du vieillissement.
Le 11 février 2005, la promulgation de la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées promettait une société plus inclusive. Pourtant, 20 ans plus tard, les annonces du gouvernement sont loin d’être à la hauteur des enjeux.
Alors que la réforme de la « solidarité à la source » va être généralisée en mars, l’UNSA salue une avancée qui simplifie l’accès aux droits pour les bénéficiaires du RSA et de la prime d’activité. Toutefois, des interrogations demeurent, notamment sur l’impact de cette mesure dans la lutte contre le non-recours.
Dans la nuit du 28 au 29 janvier, les députés ont voté à l’unanimité une proposition de loi visant à améliorer la prise en charge des soins liés au cancer du sein. Cette loi est destinée à réduire les frais souvent élevés qui restent à charge pour les patientes.
Maillon essentiel de l’accueil des jeunes enfants, les assistantes maternelles voient leur nombre diminuer. Pour l’UNSA, il y a urgence à revaloriser ce métier afin d’attirer de nouveaux professionnels. Un enjeu crucial pour la qualité et l’avenir du service public de la petite enfance.
Le Haut Conseil pour le financement de la protection sociale (HCFiPS) a publié début janvier un rapport alarmant sur les comptes de la Sécurité sociale, confirmant les chiffres du rapport de la Commission des comptes. Avec un déficit estimé à 18,5 milliards d’euros en 2024, la situation est préoccupante. Cette fragilité sans précédent pourrait grimper à 28,4 milliards en 2025 si aucune mesure budgétaire n’était prise. Pour l’UNSA, il est urgent d’agir en tenant compte de tous les facteurs.
Vingt ans après la première journée dite de solidarité, les ministres Catherine Vautrin et Amélie de Montchalin frappent à nouveau à la porte des salariés avec une demande : 7 heures de travail gratuit supplémentaires par an. Présentée comme une solution miracle pour combler le déficit de la Sécurité sociale et générer 2 milliards d’euros de recettes, cette mesure est pour l’UNSA une nouvelle rustine inacceptable conçue sur le dos des travailleur·euse·s.
Malgré le rejet du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2025, des décisions importantes concernant le grand âge continuent d’être prises. L’UNSA exprime son inquiétude.
Le gouvernement a présenté un plan de reconstruction et un projet de loi d’urgence pour Mayotte. L’UNSA appelle à en préciser le volet social. Si les premières mesures adoptées par la CNAF vont dans le bon sens, elles devront être complétées pour répondre à l’ampleur des besoins de la population mahoraise durement éprouvée.
Chaque mois de janvier, un nombre croissant de personnes se lancent dans le Dry January, ou Défi de janvier. Cette initiative, née au Royaume-Uni en 2013, reprise par les associations françaises et partout dans le monde, vise à passer le premier mois de l’année sans consommer d’alcool.
Le nouveau Premier ministre a annoncé sa volonté de rouvrir le dossier de la réforme des retraites. L’UNSA, qui s’était fermement opposée à la réforme précédente, prend acte de cette proposition.
En novembre 2024, la plateforme Doctolib a annoncé une nouvelle fonctionnalité : un carnet de santé numérique pour centraliser les informations médicales des patient·es. Alors que la santé numérique devient une donnée incontournable, l’UNSA s’interroge sur cette initiative privée. Et réaffirme son soutien à Mon espace santé, seul garant par les assurés sociaux d’un espace numérique individuel sécurisé et utile en matière de santé publique.
Le 1er janvier 2025 marquera une étape importante dans la régulation de l’installation des professionnel·les de santé en France. Face à une répartition aujourd’hui très inégale, elle sera désormais strictement contrôlée dans les zones non prioritaires. Concrètement, les chirurgiens-dentistes ne pourront s’installer dans ces zones que si un autre praticien arrête son activité.
Le ministère du Budget et des Comptes publics a annoncé ce mardi une bonne nouvelle pour les retraité·e·s : les pensions de base augmenteront de 2,2 % au 1er janvier 2025.
Depuis sa création, l’UNSA inscrit son action dans la défense et la promotion des valeurs républicaines et de la laïcité. Aujourd’hui plus que jamais, affirmons-le plus fort : nous avons besoin de laïcité et d’en convaincre nos concitoyens.
Dans sa dernière édition de l’indice du moral des salariés, l’UNSA a interrogé les travailleurs à propos de l’impact de leur activité professionnelle sur leur santé mentale. Principal enseignement de l’étude : une révision des pratiques managériales pourrait améliorer significativement la qualité de vie et les conditions de travail au quotidien.
Hier 18 novembre, dès l’ouverture de l’examen du budget de la Sécurité sociale au Sénat, la ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq, a annoncé une augmentation de 5 points du ticket modérateur des médicaments et des consultations médicales. Cette hausse, programmée pour 2025, entrainera un nouveau transfert de charges vers les complémentaires santé, estimé à 900 millions d’euros.
En 2024, la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées met l’accent sur l’égalité des chances. Pour l’UNSA, cet évènement constitue l’occasion de rappeler nos exigences pour un monde du travail plus inclusif.
Hier 11 novembre, Laurent Wauquiez a annoncé avoir obtenu du gouvernement une revalorisation de toutes les retraites à partir du 1er janvier 2025, alors même que le PLFSS pour l’année n’a pas terminé son circuit parlementaire. Cette mesure concernerait tou·te·s les retraité·e·s et viserait à les protéger de l’inflation.
À l’heure où certaines entreprises remettent en question le télétravail, la direction de l’animation et de la recherche statistique (DARES) publie une étude confirmant qu’il participe à une amélioration des conditions de travail. Toutefois, pour l’UNSA, il apparait clairement que cette amélioration ne touche qu’une minorité de travailleurs et qu’elle soulève parfois des problématiques plus profondes.
Le Conseil de la CNAM doit se prononcer ce jeudi 7 novembre sur un décret qui entérine la baisse des IJSS à partir du 1er janvier 2025. Le gouvernement a pris cette décision sans attendre le vote final du projet de loi de financement de la Sécurité sociale à l’Assemblée nationale, ni son examen par le Sénat. Pour l’UNSA, cette démarche engagée au mépris du débat démocratique constitue une attaque inacceptable en direction des plus vulnérables.
Le 3ème Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) prévoit une mesure qui vise à « adapter les conditions de travail […] en renforçant les obligations de prévention des employeurs ». Pour l’UNSA, si une telle orientation est bienvenue, il convient d’abord de faire appliquer la loi.
La chasse aux économies est ouverte. À l’Assemblée nationale, certains députés avancent des solutions simplistes pour réduire le coût des arrêts maladie. Pour l’UNSA, ces propositions sont mal avisées et dispensent leurs auteurs de s’attaquer aux causes profondes afin d’améliorer durablement la qualité de vie et les conditions de travail.
Malgré les propositions formulées par le Haut Conseil du travail social (HCTS) fin 2023, les professionnels attendent encore une réaction politique à la hauteur des enjeux.
Dans un courrier adressé aux parlementaires, l’UNSA et les autres organisations syndicales, fait part de sa grande inquiétude concernant le Projet de loi de Financement de la Sécurité Sociale 2025.
Les organisations syndicales appellent donc la représentation nationale et le gouvernement à remanier profondément un texte qui, touchant à la protection sociale, touche à notre pacte social.
Retrouvez le courrier de l’intersyndicale.
La souffrance au travail est un phénomène préoccupant qui touche une part non négligeable de travailleurs. Selon le dernier indice UNSA, 43 % des travailleurs interrogés déclarent ressentir une forme de souffrance au travail, 7 % expriment vivre une véritable souffrance. Pour l’UNSA, il est urgent d’agir sur les organisations de travail pour réduire les risques physiques et psychosociaux. En parallèle, notre organisation revendique la reconnaissance en maladie professionnelle des maladies psychiques dont l’origine est liée au travail.
À l’occasion d’Octobre rose, l’UNSA rappelle que la question de la prise en charge sanitaire spécifique des femmes est cruciale et notamment la question des diagnostics précoces. L’année 2023 aura vu 60 000 nouveaux cas de cancer du sein (33% des nouveaux cas de cancer détectés). Ce sont 900 000 femmes atteintes et plus de 12 000 décès par an… Mais plus largement, la prévention est un enjeu primordial de santé publique en particulier pour la question des diagnostics précoces.
À l’occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, l’UNSA appelle à des choix forts pour lutter contre les inégalités et la grande pauvreté.
Il y a quelques semaines, il se prévalait de la réussite des Jeux paralympiques et appelait à faire évoluer notre société sur ce sujet. Aujourd’hui, le gouvernement restreint les moyens destinés à accompagner les travailleurs en situation de handicap. L’UNSA dénonce cette régression cynique.
À partir du 1er novembre 2024, les pensions complémentaires des ancien·ne·s salarié·e·s du secteur privé, gérées par l’AGIRC-ARRCO, seront revalorisées de 1,6 %.
Selon la Fondation Jean Jaurès, plus de la moitié des actifs en poste déclarent être gênés par le bruit et les nuisances sonores sur leur lieu de travail.
À l’occasion de la Semaine pour la santé auditive au travail, organisée par l’association de la journée nationale de l’audition, l’UNSA rappelle ses priorités.
Dans son discours de politique générale, le Premier ministre a souhaité faire de la santé mentale la grande cause nationale pour 2025. La Journée mondiale pour la santé mentale est l’occasion pour l’UNSA de rappeler ses revendications.
À l’approche de la présentation du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025 (PLFSS), le gouvernement proposerait de réduire le plafond d’indemnisation des arrêts de travail (indemnités journalières payées par l’Assurance maladie) de 1,8 à 1,4 Smic. Objectif : économiser 600 millions d’euros par an. Actuellement, l’Assurance maladie indemnise à hauteur de 50 % du salaire journalier à partir du quatrième jour d’arrêt, avec un plafond de 52 euros par jour pour les salaires supérieurs à 1,8 Smic. Avec cette nouvelle disposition, ce plafond s’appliquerait dès 1,4 Smic, soit environ 40 euros par jour.
En 2024, notre monde est fragilisé par les conflits, fracturé par les inégalités et une pauvreté croissantes et déstabilisé par des mutations profondes, notamment numériques et écologiques. Autant d’éléments qui nécessitent de repenser les emplois et les protections, donnant tout son sens à la Journée mondiale pour le travail décent.
L’intersyndicale appelle le gouvernement à abroger la réforme des retraites et à négocier avec les organisations syndicales sur le financement, l’emploi des seniors, la pénibilité et l’égalité femmes/hommes.
Le gouvernement a annoncé hier le report de la revalorisation des pensions de base de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV) et des régimes alignés. Initialement fixée au 1er janvier prochain, cette revalorisation est décalée au 1er juillet 2025, dans le but de réaliser des économies budgétaires estimées entre 3 et 4 milliards d’euros, au détriment des retraités.
Après avoir baissé le taux de remboursement des soins dentaires en 2023, le gouvernement, selon un article publié le 2 octobre dans Les Échos, envisagerait d’augmenter le ticket modérateur de 30 à 40 % pour les consultations médicales.
Objectif : dégager 1 milliard d’euros d’économies dans le budget de la Sécurité sociale.
La Direction de la recherche, de l’évaluation, des études et des statistiques (Drees) et la Direction de la Sécurité sociale (DSS) ont publié fin septembre une étude sur la relation des étudiants avec leur santé pendant leurs études.
A peine nommé, le ministre de l’Intérieur cible l’Aide médicale d’État (AME). Pour l’UNSA, cela en dit long sur les priorités et la politique que le nouveau ministre souhaite mettre en œuvre...
Si pour l’UNSA, la récente parution du rapport du Haut Conseil du financement de la protection sociale sur la fraude sociale permet d’établir un bilan objectif, il est impératif de concrétiser la mise en œuvre des recommandations suggérées.
L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient d’infliger 8 millions d’euros d’amende à 11 laboratoires pharmaceutiques pour ne pas avoir maintenu des stocks suffisants de médicaments essentiels, mettant ainsi en danger l’approvisionnement en médicaments critiques.
Les salariés victimes d’un accident du travail et ou d’une maladie professionnelle sont couverts par la branche AT/MP de la Sécurité sociale, financée à 100 % par les cotisations employeurs. Depuis des décennies, on constate une sous-déclaration qui se traduit par moins de droits pour les travailleur·euse·s concernés et par une augmentation des dépenses payées par l’Assurance maladie en lieu et place de la branche AT/MP. Pour l’UNSA, c’est une situation inacceptable qui pousse à la déresponsabilisation des employeurs.
Après l’enquête choc sur les Ehpad dans « Les Fossoyeurs », le journaliste Victor Castanet revient aujourd’hui avec un nouveau livre, « Les Ogres », qui lève le voile sur les dérives du secteur lucratif des crèches. L’UNSA a aussi alerté à plusieurs reprises les pouvoirs publics sur ce sujet.
Malgré les engagements financiers consentis par le précédent gouvernement, au premier semestre 2024 les deux tiers des Ehpad, tout comme le secteur de l’aide à domicile connaissent toujours de grandes difficultés financières.
L’UNSA appelle les pouvoirs publics à remettre à l’ordre du jour l’adoption d’une loi de programmation sur la perte d’autonomie plutôt que de réagir au coup par coup.
Exploits sportifs, forte médiatisation, ferveur populaire… Dimanche soir, la France clôturait les jeux paralympiques de Paris 2024. Pour l’UNSA, la visibilité offerte aux personnes en situation de handicap ne peut pas rester une parenthèse enchantée. Il est urgent que les mentalités évoluent et notamment dans le monde du travail.
De nouveau au cœur des débats, l’indemnisation des arrêts de travail est encore une fois questionnée. Pour l’UNSA, il est primordial que soit pris en compte le contexte global dans lequel se trouvent les travailleur·euse·s.
Tout juste nommé Premier ministre, Michel Barnier a indiqué qu’il souhaitait apporter des améliorations à la réforme des retraites, tout en respectant les grands équilibres financiers. Si une discussion s’ouvre, alors pour l’UNSA, tous les sujets devront être abordés y compris le report de l’âge de départ en retraite.
Bruno Le Maire, ministre de l’Économie démissionnaire, s’inquiète d’un possible dérapage du déficit public en 2024. Celui-ci pourrait atteindre 5,6 % au lieu des 5,1 % annoncés au printemps. Comme en 2023, Bercy semble s’être une fois de plus trompé dans ses calculs…
Pour rattraper ces erreurs, le ministère a décidé de « geler » des crédits : 10 milliards en février, 16,5 milliards en septembre… et bricole de nouvelles pistes d’économies au détriment des plus vulnérables.
La 2ème vague de revalorisation des pensions de retraite les plus faibles est actuellement en cours après une 1ère vague lancée à l’automne 2023. Cette mesure vise à garantir une pension minimale équivalente à 85 % du SMIC net pour un salarié ayant accompli une carrière complète au SMIC. Pour l’UNSA, il s’agit d’un premier pas, qui reste insuffisant.
Dans le cadre de France 2030, BPI France lance un appel à projets dénommé "Challenge prévention : démonstration de la valeur des innovations en vie réelle" pour promouvoir l’innovation en prévention de la santé.
Les jeunes de moins de 26 ans peuvent désormais bénéficier d’un dépistage gratuit et sans ordonnance pour quatre infections sexuellement transmissibles (IST) : chlamydia, syphilis, gonorrhée et hépatite B, en se rendant dans un laboratoire de biologie médicale.
Une étude récente sur « l’impact de l’intensification et de l’autonomie au travail sur la santé mentale » vient confirmer que ces 2 phénomènes influencent la santé des travailleurs. L’UNSA appelle le monde du travail à se saisir de ces constats.
Chaque année, l’Assurance maladie remet au Gouvernement et au Parlement un rapport d’analyse et des propositions concrètes pour améliorer la qualité du système de santé, maîtriser les dépenses ou encore renforcer les recettes. L’UNSA regrette, alors que le déficit perdure, que l’Assurance maladie ne propose rien en la matière.
L’INSEE a publié ses données sur les conditions de mortalité de 2020-2022. Il en ressort qu’il existe toujours des disparités importantes d’espérance de vie entre les cadres et les ouvriers. Pour l’UNSA, ces données doivent collectivement nous pousser à agir.
Une étude de la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère du Travail (DARES) s’est penchée sur les accidents de trajet. Pour l’UNSA, il n’y a pas de fatalité. Des mesures de prévention doivent permettre de réduire les risques.
Dans son rapport sur l’application des lois de financement de la Sécurité sociale, la Cour des comptes s’attaque une nouvelle fois aux dépenses relatives aux arrêts de travail. L’UNSA refuse toute régression en matière d’indemnisation et recommande de travailler d’abord sur l’amélioration des recettes de l’Assurance maladie.
Laurent Escure, Secrétaire général de l’UNSA est signataire pour l’UNSA, avec la CFDT, la CGT, et la FSU d’une tribune pour soutenir « l’initiative de faire entrer la Sécurité sociale dans la Constitution avec ses principes fondateurs. »
Dans son tout récent rapport sur l’organisation territoriale des soins de premier recours, la Cour des comptes propose d’instaurer un délai de carence d’un ou deux jours non indemnisable pour les arrêts de travail de très courte durée. L’UNSA s’oppose à cette préconisation qui fait porter un risque sur la santé des travailleurs et ne résout en rien le problème persistant de l’accès aux soins dans notre pays.
Pour faciliter l’accès aux droits, l’UNSA propose de passer du droit quérable à une logique de droits automatiques. Cela pourrait permettre de limiter fortement le non recours à ces droits sociaux qui s’élève aujourd’hui à plus de 30% pour le seul RSA. C’est ce qu’envisage le gouvernement pour le RSA et la prime pour l’activité (PPA).
Alors que le gouvernement cherche partout où faire des économies, la piste visant à revoir la prise en charge des arrêts maladie revient dans l’actualité. L’UNSA y est totalement opposée. Non seulement cette piste stigmatise les malades, mais elle met aussi en péril leur santé.
À la surprise générale, le ministre de l’Économie et des Finances a annoncé hier 10 milliards d’économies immédiates. L’UNSA réprouve cette annonce qui touche tous les secteurs et notamment celui de la santé.
Tandis que le pouvoir d’achat d’une majorité de la population ne cesse de se dégrader, le gouvernement a rédigé un projet de décret visant à doubler le montant des franchises médicales et des participations forfaitaires restant à la charge des malades et non pris en charge par les complémentaires santé. L’UNSA condamne ce projet, dénonce la stigmatisation des malades et la double peine qui leur est imposée et exprime ses craintes pour les années à venir.
Alors que le passage en force sur la réforme des retraites a laissé des traces, le Premier ministre et son gouvernement semblent décidés à s’attaquer aux plus précaires. L’UNSA s’oppose à la précarisation des plus fragiles et s’étonne de voir apparaitre une nouvelle mesure « retraite » quelques mois seulement après la promulgation d’une réforme particulièrement injuste pour les travailleurs.
Le Conseil Constitutionnel a passé au crible le projet de loi pour le financement de la Sécurité sociale 2024. L’UNSA se félicite que la disposition visant à suspendre le versement des indemnités journalières maladie en cas de contrôle par le seul médecin diligenté par l’employeur ait été retoquée.
La loi du 2 août 2021 pour renforcer la prévention en santé au travail prévoit une obligation pour les employeurs de déposer leur DUERP sur un portail numérique. Cependant, des « difficultés » liées à la mise en œuvre opérationnelle semblent remettre en cause cette disposition. L’UNSA demande des garanties afin que les travailleurs puissent faire valoir leurs droits.
Depuis des années, l’UNSA dénonce les tentatives de démantèlement de l’Aide Médicale d’État (AME) à laquelle peuvent prétendre - sous conditions - les étrangers en situation irrégulière sur le territoire français. Un nouveau et énième rapport, commandé par la Première ministre, vient confirmer l’utilité de ce dispositif pourtant maintes fois remis en cause.
À l’issue de la Conférence sociale, en octobre dernier, la Première ministre s’était engagée à ouvrir une concertation sur les « les congés parentaux et la conciliation entre vie personnelle et professionnelle. »
Le Haut Conseil du travail social a présenté son Livre blanc au gouvernement le 5 décembre. Le secteur compte 1,3 millions de travailleurs sociaux et connait de grandes difficultés qui nécessiteraient des réponses plus fortes des pouvoirs publics.
À l’occasion de la semaine européenne pour l’emploi des personnes en situation de handicap l’UNSA fait le point sur les opportunités offertes par le numérique pour favoriser l’inclusion des personnes handicapées à la fois dans et par l’emploi ainsi que dans leurs démarches de citoyens.
Le Sénat vient de voter un amendement au projet de loi de financement pour la Sécurité sociale 2024 visant à pénaliser les assurés qui n’honorent pas leurs rendez-vous médicaux. L’UNSA s’interroge sur une telle mesure et demande à tout le moins qu’elle soit renvoyée vers la négociation conventionnelle avec les médecins libéraux et vers un avis du Conseil de la CNAM.
En 2016, la loi Claeys – Léonetti fixait en partie le cadre règlementaire de la fin de vie. Elle mettait l’accent sur le droit pour chacun et chacune de bénéficier de soins palliatifs et d’un accompagnement approprié par la prise en compte de la volonté de la personne consignée dans les directives anticipées.
L’UNSA a pris connaissance du projet d’accord Agirc Arrco. Elle se félicite qu’une majeure partie de ses revendications ait été prise en compte.
Alors que la dernière séance de négociations sur l’Agirc-Arrco s’ouvre ce mercredi 4 octobre, l’UNSA tient à réaffirmer ses revendications.
Si pour l’UNSA l’équilibre du régime doit être assuré, la préservation du pouvoir d’achat des retraités et des salariés est une priorité.
Elle réaffirme que l’indexation des pensions complémentaires doit être calquée sur l’inflation.
La crise de l’eau s’aggrave à Mayotte et on ne réalise pas l’ampleur de la situation dramatique de ce département français.
Sécheresse importante, infrastructures datées et non remises en état, le quotidien des Mahorais tourne au calvaire.
La pénurie d’eau est telle que des mesures de restriction très dures sont mises en place.
Après neuf mois d’attente et plusieurs reports, le gouvernement a enfin présenté lundi 18 septembre son Pacte des solidarités. Il est présenté dans un contexte où la pauvreté touche 9,2 millions de personnes, soit près de 15% de la population selon l’INSEE. Des milliers de personnes tentent d’appeler chaque soir le 115 sans se voir proposer de solutions d’hébergement et 2 000 enfants dormaient dans la rue cet été.
Depuis quelques semaines, Bruno Lemaire - Ministre de l’Économie et des Finances - enchaîne les propositions pour réduire le déficit de l’Assurance maladie. L’UNSA, totalement opposée aux pistes avancées par Bercy, rappelle que des solutions ne se limitant pas à faire payer les assurés sociaux existent.
Clap de fin pour l’édition 2023 de la semaine pour la qualité de vie et des conditions de travail #SemaineQVCT. Pour l’UNSA, la question des transitions doit aussi être posée au regard des impacts qu’elles peuvent avoir sur notre système de protection sociale, sur la santé des travailleurs et des travailleuses et plus globalement de la population.
L’UNSA apprend ce jour dans la presse que le gouvernement et la Direction de la Sécurité sociale (DSS) prévoiraient de baisser le remboursement de la part Sécurité sociale sur les soins dentaires de 70% à 60%. A ce stade, notre organisation syndicale condamne cette décision qui aurait forcément un impact sur les assurés sociaux.
Continuons à agir !
Après 6 mois de grèves, d’une mobilisation historique par sa durée et par l’ampleur des manifestations, l’exécutif a décidé d’imposer sa réforme des retraites en empêchant une nouvelle fois les parlementaires de voter. Ce nouveau déni de démocratie, les nombreux passages en force, malgré le rejet massif de la population laisseront des traces profondes. Hier encore, le conseil de l’Europe s’est interrogé sur l’ingérence significative de l’exécutif suite à l’utilisation en France de l’article 49.3.
Lors de son congrès réuni à Dijon début juin, l’UNSA réaffirmait la nécessité d’assurer à tout citoyen le droit d’accéder à des soins de qualité et de proximité quel que soit son lieu de résidence. Un amendement transpartisan à la proposition de loi Valletoux sur l’accès aux soins répondait enfin à notre revendication. Mais, une fois encore, l’Assemblée nationale a rejeté cette proposition.
La semaine annuelle pour la qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) se déroule du 19 au 23 juin. Cette année, elle a pour thème « Transitions et travail, on en parle ? ». Pour l’UNSA, c’est une nouvelle fois l’occasion de remettre la santé, la qualité de vie et des conditions de travail au cœur du dialogue social.
Après des mois de négociations, les partenaires sociaux ont abouti à un accord national interprofessionnel (ANI) visant notamment à mettre en œuvre une politique de prévention au travail ambitieuse et une amélioration de la réparation des accidents du travail et maladies professionnelles (AT-MP). L’UNSA approuve globalement la philosophie de ce texte, qui doit selon nous permettre d’avancer sur l’amélioration de la santé, des conditions et de la qualité de vie au travail.
Le 6 juin à deux jours du vote de la loi LIOT à l’assemblée nationale, grande journée de mobilisation pour le retrait de la réforme des retraites.
Retrouvez les différents visuels et outils.
À utiliser sans modération !
La Première ministre a décidé de recevoir les Organisations Syndicales dites représentatives les 16 et 17 mai.
Afin de démontrer à l’exécutif notre unité, l’intersyndicale a décidé de publier un communiqué de presse.
Fin avril, Elisabeth Borne dévoilait la feuille de route du gouvernement pour les 100 jours à venir. Côté accès à la santé, l’UNSA déplore les mêmes incantations réchauffées depuis 2018 mais hélas aucune amélioration notable pour les assurés sociaux.
Suite à la très forte mobilisation du 1er mai, l’intersyndicale fait le point sur la situation et annonce de nouvelles actions.
La journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail le 28 avril mettra en avant le droit fondamental pour les travailleurs du monde entier à pouvoir travailler dans un environnement sûr et sain.
L’UNSA mobilisée sur la question de la santé, de la qualité de vie et des conditions de travail propose des outils pour mettre en avant ses revendications.
Le Conseil constitutionnel a validé le 15 avril dernier, l’essentiel de la réforme des retraites.
La loi, promulguée dans la foulée par le président de la République, recule à partir du 1er septembre 2023, l’âge de départ à la retraite à 64 ans, et augmente de façon plus rapide le nombre de trimestres nécessaires pour bénéficier d’une retraite à taux plein.
Selon le dernier rapport de Santé publique France, le taux de signalement des maladies à caractère professionnel (MCP) est en forte augmentation.
Pour l’UNSA, le meilleur moyen de lutter contre ces maladies est la mise en place d’une politique de prévention ambitieuse et l’amélioration réelle des conditions de travail.
Le rapport de l’IGAS sur la qualité de l’accueil et la prévention de la maltraitance dans les crèches dresse un constat alarmant sur les pratiques dans un certain nombre d’établissements d’accueil du jeune enfant (EAJE).
Intervention de Dominique Corona secrétaire général adjoint, chargé du dossier des retraites lors de la manifestation parisienne du 6 avril.
Vidéo de la manifestation du 6 avril 2023 dans le cortège parisien de l’UNSA.
Intervention de Pauline Laby-Le-Clercq, Secrétaire régionale UNSA Île-de-France.
Retour sur la 10ème journée de mobilisation intersyndicale, le mardi 28 mars.
Images du cortège UNSA à Paris, avec les interventions des militantes et militants UNSA qui réaffirment leur opposition au projet de réforme des retraites.
Ce 18 mars s’ouvre la semaine nationale de la petite enfance. A cette occasion, l’UNSA rappelle l’importance de créer un véritable service public chargé de cette politique publique afin de répondre aux besoins de toutes les familles.
Le gouvernement a activé le 49.3 pour faire passer son projet de réforme des retraites en force.
Face à ce déni de démocratie, l’intersyndicale appelle à des rassemblements partout en France ce week-end et à une grande journée de mobilisation jeudi 23 mars.
Après le coup de force du gouvernement on continue le 23 mars !
Ci-dessous les différents visuels et outils contre la réforme des retraites d’E. Borne.
À utiliser sans modération !
Le gouvernement vient d’engager sa responsabilité en actionnant le 49.3 sur sa réforme des retraites.
Après le coup de force du gouvernement on continue !
Ci-dessous les différents visuels et outils contre la réforme des retraites d’E. Borne.
À utiliser sans modération !
Le 16 mars, l’Assemblée nationale doit rejeter le projet de réforme de retraites.
Les députés doivent prendre leur responsabilité et prendre conscience du refus large, populaire, massif de cette réforme.
Écrivez à votre député·e pour lui exprimer votre opposition.
Dans un nouveau communiqué, l’intersyndicale appelle les parlementaires à voter contre le projet de loi et soutient les actions des salarié.es ce jeudi 16 mars.
Ni un jour, ni un mois, ni un an de plus !
On continue pour gagner ! Tous dans la rue le 15 mars !
Ci-dessous les différents visuels et outils contre la réforme des retraites d’E. Borne.
À utiliser sans modération !
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA) a adopté le 7 mars deux rapports. Le premier dresse un état des lieux des modes d’accueil pour les moins de 3 anset le second formule des propositions pour le futur service public de la petite enfance. L’UNSA y a exprimé ses propositions sur un sujet essentiel pour l’égalité hommes/femmes et la conciliation vie familiale – vie professionnelle.
Même le Président adresse un bras d’honneur à l’intersyndicale.
Face à ce mépris incompréhensible, l’intersyndicale appelle à renforcer la mobilisation pour le 15 mars et demande une consultation citoyenne.
L’ensemble des organisations syndicales dont l’UNSA demande dans un courrier à être reçu par Emmanuel Macron.
L’intersyndicale a publié un communiqué s’intitulant : « Nous exigeons le retrait du projet de réforme des retraites qui pénalise particulièrement les femmes ».
Ce texte appelle les « travailleuses et travailleurs à se saisir du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, pour dénoncer partout l’injustice sociale majeure de cette réforme des retraites envers les femmes ».
Revalorisation de la consultation d’1,50€, hausse de la rémunération « forfait médecin traitant » de 15%, hausse des tarifs des actes cliniques, aide pérenne pour l’embauche d’un.e assitant.e médical.e, prise en charge par l’Assurance maladie (21 000 €/an), etc.
Les syndicats de médecins vont-ils trop loin en refusant l’accord qui leur est proposé ? Pour l’UNSA, la réponse est clairement oui, et malheureusement, ce sont encore les assurés sociaux et les patients qui en subissent les conséquences.
Le 14 février 2023 Rachel Silvera économiste, maîtresse de conférence à l’Université Paris – Nanterre, co-directrice du MAGE ) ; spécialiste des questions d’égalité professionnelle est intervenue à l’UNSA pour échanger sur les inégalités de salaires et de retraites entre les femmes et les hommes.
Les organisations syndicales et de jeunesse saluent la mobilisation de ces millions de travailleurs.euses, jeunes, retraité.e.s qui, depuis le 19 janvier, expriment leur opposition à cette réforme des retraites. Ils et elles sont déterminé.e.s à empêcher le recul de l’âge légal à 64 ans et l’allongement du nombre de trimestres, ce qui aurait pour effet de faire aussi baisser plus rapidement leurs pensions.
Ni un jour, ni un mois, ni un an de plus !
On continue ! Tous dans la rue le 16 février !
Ci-dessous les différents visuels et outils contre la réforme des retraites d’E. Borne.
À utiliser sans modération !
Aujourd’hui 11 février, alors que les cortèges massifs se préparent, l’intersyndicale lance un avertissement au gouvernement.
L’UNSA et l’intersyndicale continuent à appeler les travailleurs et l’ensemble des citoyens à signer la pétition (on approche le million de signataires !) contre le projet de réforme injuste et brutal du gouvernement.
Report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, accélération de l’augmentation de la durée de cotisation, martelons que nous refusons cette double peine !
Près de deux millions de manifestants aujourd’hui, qui s’additionnent aux millions précédents : le refus de la réforme des retraites est massif et déterminé.
Les ministères de la Santé et de l’Industrie ont installé un comité de pilotage pour faire le point sur la pénurie de médicaments. Pour l’UNSA, qui dénonce ces carences depuis plusieurs années, les choses avancent beaucoup trop lentement.
Avec plus de 2,5 millions de manifestants, la population démontre une nouvelle fois qu’elle est fortement opposée au projet de réforme des retraites du gouvernement.
Alors que le projet de réforme des retraites arrive à l’Assemblée nationale, l’UNSA se mobilise pour interpeller les députés. Opposée au recul de l’âge de départ et à l’accélération de la durée de cotisation, l’UNSA le réaffirme, il existe d’autres solutions.
Le droit de grève est un droit fondamental. A ce titre, la grève bénéficie d’une protection juridique particulière.
Entre approximations parfois de certains commentateurs et "propagande" gouvernementale, il est nécessaire de faire le point sur les différents arguments avancés pour défendre la réforme des retraites.
Après ce jeudi multicolore et les plus de 2 millions de personnes dans la rue, la prochaine journée de grève et de mobilisation est fixée au 31 janvier.
Ce premier décryptage du projet de réforme des retraites et les réactions de l’UNSA ont pour but de vous aider à comprendre les conséquences de ce projet sur les salariées et agents de la fonction publique
Pour faciliter la lecture, nous l’avons construit à partir des propositions du gouvernement complétées parfois de la position de l’UNSA.
Retrouvez l’interview de Dominique Corona dans le "fil Info" de France info TV, le 11 janvier 2023
Le 6 décembre dernier Michaël Zemmour, enseignant-chercheur à l’Université Paris 1 et chercheur associé à Sciences Po, est intervenu à l’UNSA pour débattre de la réforme des retraites voulue par le Gouvernement.
Retrouvez son analyse et celle de l’UNSA sur le projet de réforme, ses conséquences prévisibles ainsi que les solutions alternatives.
Le Secrétaire Général de l’UNSA sur les dossiers d’actualité.
Laurent Escure, secrétaire général, donne la position de l’UNSA sur le perron de Matignon.
Le gouvernement a annoncé le lancement prochain d’une expérimentation avec plusieurs départements visant notamment à conditionner le versement du revenu de solidarité active (RSA). Pour l’UNSA, la priorité doit aller à l’accompagnement vers et dans l’emploi, et à la lutte contre le non recours.
La Fondation Jean Jaurès a récemment publié une enquête menée auprès de 10 000 personnes sur le rapport des Français à leur logement, dans un contexte caractérisé par la pénurie et par la problématique de la rénovation énergétique.
Chaque année, la lutte contre le travail illégal et les contrôles comptables d’assiette font l’objet d’un rapport annuel examiné par le Haut Conseil du Financement de la Protection Sociale (HCFIPS), au sein duquel siège l’UNSA.
Pénuries d’anti-cancéreux, d’anesthésiants, de doliprane ou encore d’amoxicilline… au fil des ans le nombre de pénuries ou de tension sur les médicaments ne cessent d’augmenter. L’UNSA dénonce cette situation depuis longtemps et demande à l’État de prendre ses responsabilités !
La concertation sur la réforme des retraites a débuté ce vendredi 14 octobre avec la question de « l’emploi des séniors et la prévention de l’usure professionnelle. » L’UNSA présente à cette réunion bilatérale a défendu ses propositions. Elle a également rappelé qu’un sénior sur deux n’est plus en emploi au moment de liquider sa retraite. Il convient d’agir urgemment et cela passe par plusieurs axes.
Les partenaires sociaux étaient réunis mercredi 5 octobre au ministère du Travail pour l’ouverture de la concertation sur les retraites. Le gouvernement a précisé la méthode et ses objectifs. Lors de ce rendez-vous l’UNSA a réaffirmé ses positions. Elle attend une discussion loyale et transparente et réaffirme son opposition à tout recul de l’âge légal ou de la durée de cotisation.
Mardi 4 octobre 2022, le conseil d’administration de la CNAF s’est prononcé sur les mesures familiales contenues dans le projet de loi de finances de la Sécurité sociale pour l’année 2023.
Pour l’UNSA, cette partie du projet de loi contient des avancées mais aussi des occasions manquées.
Hier soir, le gouvernement a décidé d’éviter le "passage en force" en ouvrant des concertations sur plusieurs sujets : dispositif carrières longues, pénibilité et usure au travail, transition emploi retraite et fin de carrière, emploi des (...)
Le Ministre de la Santé et de la Prévention a annoncé dans la presse la création de trois consultations de prévention au cours de la vie d’adulte. L’UNSA salue la démarche et encourage le Gouvernement à multiplier les efforts pour que notre système de santé fasse plus de place à la prévention et à l’éducation à la santé.
L’Assemblée nationale a adopté un amendement permettant aux salariés de renoncer à tout ou partie de leurs RTT contre rémunération, et ce en dehors de tout accord de branche ou d’entreprise. Pour l’UNSA, le gouvernement est en train d’individualiser le démantèlement des 35 heures et fait peser un risque sur la santé des travailleurs.
Alors que la France a déjà subi deux périodes de canicule en 2022, la confédération européenne des syndicats (CES), dont l’UNSA est membre, plaide pour l’adoption d’une loi qui fixerait une température maximale au travail.
Les premières projections des comptes de la Sécurité sociale pour 2022 tendent à démontrer que le déficit continue à se résorber. Ces résultats provisoires sont le fait d’une forte croissance de la masse salariale et d’un meilleur niveau d’emploi. Pour l’UNSA c’est donc bien l’augmentation des salaires et la lutte contre le chômage qui permettront de résorber le déficit de la Sécu.
Plus de 10 % des cas de cancer en Europe pourraient être évités selon l’agence européenne pour l’environnement (AEE). Pour l’UNSA, la France a des moyens d’agir et doit les mobiliser plus fortement pour préserver la vie et la santé des travailleurs.
Une partie des articles de la future loi « pouvoir d’achat » était examinée dans les conseils des caisses nationales de sécurité sociale. L’UNSA a pris acte des mesures proposées et a rappelé que des augmentations de salaires pérennes sont le seul gage efficace pour maintenir le pouvoir d’achat des travailleurs.
« Qu’est-ce qui motive, permet de rester en poste, donne envie d’évoluer ? Quelles sont les attentes des salariés après la crise COVID qui a bouleversé les organisations du travail »
Alors que les difficultés de l’hôpital public défrayent régulièrement la chronique, la période estivale s’annonce particulièrement difficile pour les services d’urgences. Afin de garantir la sécurité des populations, l’UNSA appelle le Gouvernement à mettre en place des mesures palliatives et immédiates telles que le retour des gardes obligatoires en médecine de ville ou encore l’orientation des patients présentant une urgence non vitale.
Créé en 2004, le dossier médical partagé (DMP) peine à trouver sa place, et sa généralisation en 2018 n’aura pas non plus été à la hauteur des moyens déployés. Toutefois, l’UNSA se félicite qu’un arrêté oblige les professionnels de santé à alimenter ce « carnet de santé numérique ». Mais il faut désormais aller plus vite, et plus loin !
L’UNSA demande la mise en place d’un accord cadre pour garantir l’effectivité des revalorisations. Le salarié ou agent public de la filière socio-éducative doit trouver sur son bulletin de salaire de juin la somme de 183€ avec la rétroactivité au 1er juin ainsi que la traduction en points d’indice pour les agents publics.
Pour faire face aux défis environnementaux et mieux répondre aux besoins de la population, la Sécurité sociale va devoir s’adapter. Pour l’UNSA elle doit désormais prendre en compte les aspects environnementaux dans les préconisations annuelles qu’elle remet au Gouvernement.
Auditionnée par la commission d’enquête du Sénat sur le contrôle et la tutelle des EHPAD, l’UNSA a pu faire part de ses constats et revendications afin d’améliorer les conditions de travail des personnels et l’accueil des résidents. L’enjeu étant de mettre la bientraitance, l’humain au centre du fonctionnement des EHPAD.
Après un déficit historique en 2020, les comptes de la sécurité sociale pour 2021 sont en nette amélioration. Toutes les branches réduisent drastiquement leur déficit. La branche retraite est même proche de l’équilibre. Pour l’UNSA, cela démontre que le vrai moyen pour combattre les déficits c’est la croissance durable.
Le Gouvernement dévoilait en début de semaine, un plan visant à prévenir les accidents du travail graves et mortels. Pour l’UNSA, il y a urgence à agir pour réduire le nombre de victimes d’accident du travail dans le secteur privé comme dans le public.
Face au changement climatique et à la crise environnementale, la Sécurité sociale va devoir s’adapter pour répondre aux besoins de la population. Pour l’UNSA, cela passe notamment par une réforme en profondeur des systèmes de reconnaissance des maladies professionnelles.
La crise Covid a très lourdement impacté, et impactera au moins pour les 10 ans à venir notre système de protection sociale (-35Mds€ en 2021). La crise environnementale risque d’accentuer encore les difficultés financières de notre système, (apparition de nouvelles pathologies, baisse des recettes…). Il faut donc d’ores et déjà penser à la façon de les financer, et notamment via de plus forts prélèvements sur la fiscalité environnementale.
Le changement climatique n’est pas qu’une question environnementale. Il doit interroger l’ensemble de la société afin de pouvoir faire face à ses conséquences, et d’en limiter les effets sur notre environnement, la population, l’économie ou encore notre système de protection sociale.
Cela nécessite des politiques publiques plus transverses, plus ambitieuses, systématisant la prise en compte du risque environnemental pour les construire.
C’est dans cette logique que l’UNSA vous propose sa contribution à la mission d’information du Sénat « Protéger et accompagner les individus en construisant la sécurité sociale écologique du XXIe siècle ».
Chaque année, à l’occasion de son rapport annuel sur l’état du mal logement, la Fondation Abbé Pierre (FAP) analyse la politique du logement en France. Cette année ce fut également l’occasion de faire le bilan du quinquennat et d’entendre les propositions des candidats à l’élection présidentielle pour remédier à la crise du logement.
Le Premier ministre a souhaité saisir le Conseil économique social et environnemental pour qu’il réfléchisse à la création d’un service public d’accueil de la petite enfance.
L’UNSA mobilisée de longue date sur cette question, a contribué aux travaux du CESE.
Alors que le débat sur l’âge d’ouverture des droits à la retraite refait surface, l’UNSA se félicite que le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) du 27 janvier 2022, ait analysé les effets sur les finances publiques d’une telle proposition.
L’UNSA salue la mise en place de la conférence des métiers de l’accompagnement social et médico-social permettant de poser les enjeux pour le secteur du handicap.
Le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (HCAAM) mène des réflexions sur la question de l’articulation entre la Sécurité sociale et les complémentaires santé. Mais ces derniers mois, une politisation des débats, a mis à mal le bon déroulement de ses travaux. L’UNSA, au côté d’une dizaine d’organisations syndicales et mutualistes, rappelle les enjeux qui attendent notre système de protection sociale : poids excessif du coût de la santé dans le budget de certains foyers, ou encore déserts médicaux….
La vaccination contre la Covid 19 est à ce jour le seul moyen de lutter efficacement contre les formes graves de la maladie. Aujourd’hui, l’arrivée d’un nouveau variant plus contagieux doit nous pousser collectivement à accélérer la vaccination et l’injection des doses de rappel.
Dans un rapport publié le 2 décembre, la Cour des Comptes fustige l’efficacité des politiques publiques de prévention et d’éducation à la santé et appelle les pouvoirs publics à agir. Pour l’UNSA, les acteurs du monde du travail doivent aussi repenser la prévention et la santé de façon plus collective et prédictive.
Face à la reprise de l’épidémie de Covid-19, le Gouvernement appelle la population à recevoir une 3ème dose de vaccin. L’UNSA demande la réouverture des centres de vaccination pour permettre à tous d’accéder au vaccin et vous aiguille quant à la validité de votre pass sanitaire.
Dans son rapport « Panorama de la santé en 2021 », l’OCDE dresse le bilan des impacts de l’épidémie de Covid-19 sur la santé des populations. Pour l’UNSA, les constats présentés dans ce document appellent indéniablement à « changer de braquet » en matière de santé et de santé au travail et vite !
Après de nombreux mois d’un silence assourdissant de la part du Gouvernement et de nombreuses démarches des signataires du protocole « Laforcade » de mai 2021, le Premier ministre a fait des annonces lors d’un déplacement à Châtenay- Malabry dans une maison d’accueil spécialisée le lundi 8 novembre.
Annoncé par le Président de la République sur les réseaux sociaux, le « Contrat d’engagement jeune » est le nouveau dispositif d’accompagnement des jeunes de moins de 26 ans, sans formation ni emploi depuis plusieurs mois.
Pour l’UNSA, cette nouvelle mesure très simplifiée ne répond pas à l’urgence à agir pour les jeunes, fragilisés par la crise et s’éloigne de l’ambition universelle.
Dans son rapport annuel consacré aux lois de financement de la Sécurité sociale, la Cour des comptes se penche sur la reconnaissance et la réparation des accidents du travail, maladies professionnelles (AT-MP° ). Elle préconise des améliorations des dispositifs pour les rendre plus efficients et efficaces. Si l’UNSA partage certaines pistes, elle rappelle néanmoins ses impératifs en la matière.
Souhaité par Matthieu KLEIN, nouveau président du Haut Conseil du Travail Social, ce livre vert, en préparation, a vocation à nourrir le débat public en posant les enjeux du secteur, et en mettant un coup de projecteur sur ces professionnels « invisibles »... mais indispensables. L’UNSA participera aux travaux.
Pour l’UNSA, les plateformes numériques ont une forte responsabilité en matière de sécurité et de santé des travailleurs indépendants avec qui elles travaillent. Si elles ne sont pas les seules à devoir en prendre leur part, de par leur « influence », elles peuvent conduire à une meilleure prise de conscience et prise en compte des risques professionnels.
La loi relative à la gestion de la crise sanitaire, qui prévoit notamment l’extension du pass sanitaire jusqu’au 15 novembre et l’obligation de vaccination pour certains professionnels a été adoptée par le Parlement. Ce texte va désormais passer entre les mains du Conseil constitutionnel qui pourra en modifier le contenu. Au vu de la situation inédite induite par la crise sanitaire, l’UNSA demande de véritables mesures d’accompagnement et un dialogue social sans failles.
Le 12 juillet dernier, le Président de la République annonçait une quasi obligation de vaccination pour un certain nombre de travailleurs à compter du 1er août. Au vu des délais, l’UNSA demande un peu plus de souplesse pour ceux qui auraient entamé leur démarche de vaccination.
Le 28 juin 2021, la Commission Européenne a adopté un plan d’actions « clés » pour mieux protéger les travailleurs. Construite autour de 3 objectifs forts que l’UNSA partage, cette stratégie cadre appelle les gouvernements, et notamment le gouvernement français, à renforcer les dispositions visant à protéger tous les travailleurs contre l’ensemble des risques qu’ils encourent.
Olivier VERAN, ministre des Solidarités et de la Santé, a confirmé le renouvellement pour 5 ans du Haut Conseil du Travail Social et a présenté son nouveau président.
L’avenir du HCTS et la qualité de ses travaux sont désormais entre les mains de Mathieu KLEIN. Son portage politique, sa capacité d’entrainement et ses méthodes de travail devront permettre de relever les défis pour promouvoir et soutenir un secteur professionnel en première ligne, au service des plus vulnérables.
Alors que le pays constate un ralentissement des prises de rendez-vous pour se faire vacciner contre le Covid-19, et que la progression du variant Delta inquiète les autorités, l’obligation de vaccination fait débat. Au-delà de la réflexion, et en l’absence d’impératif en la matière, l’UNSA estime qu’il faut amplifier la campagne d’information et de vaccination en allant à la rencontre des populations, y compris au travail.
Avec le déconfinement progressif, les salariés et les agents sont appelés à reprendre le chemin du travail. Difficile de s’imaginer que le retour pourra se faire « simplement », « comme avant ». Alors à l’occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail, l’UNSA appelle tous les acteurs à se mobiliser.
Alors que la plupart des salariés ont pu bénéficier du télétravail pour limiter leur exposition à la Covid, 4,6 millions de salariés du secteur privé dits de « 2ème ligne » ont pris un risque accru afin d’assure la continuité de la vie quotidienne des Français. Si l’UNSA soutient la nécessité de revaloriser ces métiers, elle appelle également à améliorer leur protection sociale au vu de leurs conditions de travail.
À compter du 24 avril, les travailleurs dits prioritaires de 55 ans et plus (agents d’entretien, salariés des abattoirs, caissières, etc) pourront se faire vacciner prioritairement. Pour l’UNSA, il faut protéger tous les travailleurs les plus exposés quel que soit leur âge.
En 2014, l’UNSA a émis un avis favorable à la mise en place de la PreParE (prestation partagée d’éducation de l’enfant) portée par la loi sur l’égalité réelle entre les hommes et femmes. Cette prestation avait pour double objectif d’encourager le recours des pères au congé parental et de permettre aux femmes de ne pas s’éloigner trop du marché du travail contribuant ainsi à la réduction des inégalités professionnelles liées à l’arrivée d’un enfant.
Pour l’UNSA, cette réforme n’a pas démontré sa pertinence. D’autres mesures sont nécessaires pour la rendre attractive.
L’UNSA accueille favorablement la proposition de loi donnant le droit à une fin de vie libre et choisie.
Depuis l’annonce de la fermeture des crèches, et des écoles et des collèges-lycées, beaucoup de parents s’inquiètent de l’adaptation du mode de vie à la maison avec les enfants en bas âge, les jeunes en cours de scolarité, les adolescents, instruits de la période similaire vécue l’an dernier. La CNAF propose des outils pour les aider.
En décembre dernier, le Gouvernement a commandé au Haut Conseil du Financement de la Protection Sociale (HCFiPS) un rapport sur « l’avenir de la Protection Sociale » et « les conditions d’un retour à un équilibre durable des comptes sociaux ». Membre actif de cette instance, l’UNSA a élaboré, appuyé, renforcé plusieurs propositions formulées dans la note d’étape qui vient d’être publiée.
Depuis des mois, l’UNSA ne cesse de réclamer que les pouvoirs publics mettent fin à l’application des participations et franchises médicales (1 euro) qui restent à la charge des patients lorsqu’ils pratiquent un test Covid. Avec l’incitation à la pratique de tests salivaires pour les personnels de l’Éducation nationale, et l’obligation pour des travailleurs transfrontaliers de présenter des tests négatifs tous les 3 jours, il est temps que le Gouvernement réagisse.
Voté dans le cadre de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2021, le forfait patient pour les passages aux urgences (non suivis d’une hospitalisation) pénalise de fait les assurés en situation d’invalidité ou en affection longue durée, exonérés jusque-là du ticket modérateur.
Pour l’UNSA, il est impératif de restaurer l’exonération de ces publics spécifiques.
Cyber attaques contre les hôpitaux, vol de données médicales en ligne des laboratoires, … Pour l’UNSA, face à la multiplication des attaques, le Dossier Médical Partagé (DMP) doit être le seul outil autorisé à contenir les données médicales non anonymisées des assuré·es.
Dans le cadre des travaux de la commission temporaire du CESE, et suite à la démarche entreprise par celle-ci de solliciter les organisations afin de recueillir leurs demandes et questionnements, l’UNSA souhaite mettre l’accent sur quelques champs qui lui semblent devoir être traités.
Depuis plus de 10 ans, l’e-santé est au cœur des plans de développement stratégique des entreprises de la Tech.
Avec la Covid-19, la demande de télé-services en médecine a explosé : les consultations en ligne ou par téléphone sont la partie émergée d’une tendance de fond, la digitalisation de la santé.
Avoir du chauffage, de l’eau chaude, de la lumière… bien naturel pour beaucoup d’entre nous, mais un véritable casse-tête, voire un luxe pour au moins 3,5 millions de ménages qui ont les plus grandes difficultés à payer leurs factures d’énergie. C’est ce qu’indique l’analyse 2020 de l’Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE), qui prévoit une aggravation certaine de la situation en raison de la crise sanitaire.
En 2000, dans le but d’augmenter l’offre de logements sociaux et de mieux les répartir sur le territoire, la loi de Solidarité et de Renouvellement Urbain (SRU) fixait à certaines collectivités territoriales un objectif de 25 % de logements sociaux en 25 ans. Vingt ans après et à 5 ans de son terme, la loi SRU a-t-elle fait preuve de son efficacité ? Où en est-on et qu’en sera-t-il après 2025 ?
L’Accord national interprofessionnel sur la santé au travail signé fin 2020 fait aujourd’hui l’objet d’un projet de loi. Dans sa volonté de faire de la santé et de la prévention au travail un véritable enjeu, il agit pour améliorer ce texte.
Une proposition de loi portant création d’un fonds d’indemnisation des victimes de la Covid-19 longue sera débattue à l’Assemblée Nationale dans quelques jours. Pour l’UNSA, cette proposition va dans le bon sens car elle permettra une meilleure prise en compte des séquelles de cette maladie.
Ce lundi 25 janvier, l’UNSA et France Assos Santé étaient conviées par la FNMF à une table ronde sur les enjeux de la crise sanitaire. L’UNSA y a développé la façon dont elle aborde la question pour améliorer la protection sociale et les protections de demain. C’est devant une centaine de mandatés locaux de la mutualité française que Frédérique GALLIAT, Conseillère nationale en charge de la protection sociale et des questions de santé est venue présenter la vision de l’UNSA.
L’UNSA a approuvé lors de la plénière du 25 janvier du Haut Conseil du Travail Social le rapport intitulé « le Travail Social au défi de la crise sanitaire ». Il contient 12 préconisations visant à prévoir et agir afin d’éviter une crise humanitaire. Ce rapport, riche et constructif, va au-delà du rappel des principes qui fondent le travail social. Il se saisit de l’enjeu majeur de la mise en place des Plans de continuité de l’activité (PCA), qui ont cruellement fait défaut dans nombre d’institutions, sans parler de l’absence d’articulation entre PCA des institutions d’un même territoire.
Après plusieurs années de report, la réforme de la base de calcul de l’APL va entrer en vigueur le 1er janvier 2021, l’idée étant d’apporter une aide au logement au moment le plus opportun. Elle trouve une application immédiate avec la crise sanitaire, économique et sociale que nous traversons.
Une enquête du cabinet de conseil Empreinte Humanis publiée le 18 novembre 2020 souligne la hausse de la détresse psychologique dont souffrent 49 % des salarié.es.
S’attaquer à la crise du logement alors que la crise sanitaire, devenue économique et sociale, va faire basculer plus d’un million de personnes dans la précarité, procède de la cohésion sociale. Mais réduire la politique du logement aux questions sécuritaires et communautaires serait une erreur.
Des annonces sujettes à polémique....
L’UNSA qui a souvent alerté sur le besoin de construire des référentiels adaptés aux réalités professionnelles des personnes en situation de handicap, salue leur prise en compte dans les certifications professionnelles.
Chez les jeunes, les formes graves de la Covid-19 sont moins nombreuses que chez les plus âgés mais cette crise a révélé des détresses et des difficultés préexistantes qui conduisent aujourd’hui le CESE à produire une déclaration spécifique sur les jeunes. L’UNSA a activement pris sa part dans la construction de cette déclaration, qu’elle a approuvée le 2 décembre dernier.
La Loi du 5 septembre 2018 « Pour la liberté de choisir son avenir professionnel » réforme l’obligation d’emploi des travailleur•euses handicapé•es (OETH) avec pour objectif de responsabiliser les entreprises, faire du dialogue social un levier à l’embauche, développer une politique d’emploi inclusive et simplifier leur déclaration d’obligation d’emploi.
Face à l’augmentation de la pénurie qui s’aggrave, l’UNSA réclame la constitution de « stocks minimums » par les laboratoires pharmaceutiques et de réelles sanctions financières en cas de manquement à la règle.
Volets logement du plan de relance et de la concertation citoyenne, passoires thermiques, lutte contre l’habitat indigne et les impayés, prévention des expulsions, réformes d’Action Logement et des APL..., le logement est au cœur de l’actualité en cette rentrée 2020.
Lorsque les négociations ont commencé, le gouvernement Philippe a mis sur la table 6,4 milliards d’euros pour le volet personnel du secteur (public et privé). Au cours des discussions, Jean Castex, nommé 1er ministre, a pris en compte les remarques de l’UNSA Santé et Sociaux. Il a modifié la donne et ajouté sur la table 1,1 milliard ! L’enveloppe est donc passée à 7,5 milliards, dont 5,6 fléchés pour le secteur public.
L’UNSA s’inquiète de voir que 250.0000 salariés pourraient se voir privés de complémentaire santé en raison de la faillite de leur entreprise dans les mois à venir. Pour y remédier, l’UNSA propose de flécher la contribution exceptionnelle des OCAM (1,5 Md €) vers un fonds visant à prendre en charge la portabilité́ des droits au maintien d’une complémentaire santé.
« 1000 premiers jours, là où tout commence » tel est le titre du rapport confié à une équipe d’experts présidée par Boris CYRULNIK. Centré autour de l’enfant, de son développement harmonieux, il démontre la nécessité de créer un véritable parcours des 1 000 jours qui garantit dans le même temps aux parents un quotidien apaisé.
Cette prestation versée par la CAF ou la MSA s’adresse à tous les salariés du privé comme du public qui cessent ou réduisent temporairement leur activité professionnelle pour s’occuper d’une personne handicapée ou en perte d’autonomie importante.
Elle entre en vigueur à compter du 30 septembre 2020.
La réforme visant la base de calcul des APL entrera finalement en vigueur l’an prochain. La volonté d’être au plus près de la situation de l’allocataire, quasiment en temps réel, est intéressante. Cependant d’autres aspects auraient mérité d’être traités en profondeur.
L’état d’urgence sanitaire voté le 24 mars dernier prendra fin le 10 juillet au soir, tout comme un certain nombre de mesures qui l’accompagnaient. Pour l’UNSA, certaines d’entre elles, comme la suppression des jours de carence et le maintien de salaire en cas d’arrêt de travail pour maladie doivent être pérennisées.
L’UNSA a toujours mis la prévention et la qualité de vie au travail au cœur de ses revendications à tous les niveaux : européen, national, local. La crise sanitaire a montré combien la santé au travail, l’hygiène et la qualité de vie au travail ont une importance capitale. Il est indispensable de revoir l’ensemble des questions liées à la santé au travail en prenant en compte les leçons de la crise que nous sommes en train de traverser.
La dette générée par la crise sanitaire alourdit le déficit des régimes de retraite. Elle doit être prise en charge par l’État, en dehors du budget ordinaire, afin de ne pas peser sur les assurés sociaux.
Depuis 20 ans, les personnels des hôpitaux publics voient leurs conditions de travail se dégrader. Manque de moyens financiers, humains, matériels, la crise du Covid-19 met davantage en lumière ce que le monde hospitalier dénonce sans cesse et sans être entendu.
Le Haut Conseil du Financement pour la Protection Sociale (HCFIPS), dont l’UNSA est membre, confirme dans sa note de mai 2020, l’ampleur du déficit attendu pour 2020. Pour l’UNSA, il ne peut être question d’assimiler ce déficit historique à une dette sociale « ordinaire ». Hors de question qu’elle soit remboursée par les assurés sociaux dans les années à venir.
Dans les jours à venir, le Gouvernement doit prendre une série de mesures visant à sécuriser les salariés en chômage partiel quant à leur couverture santé, prévoyance et droits à retraite.
Lors d’une réunion avec les partenaires sociaux le 7 mai 2020, l’UNSA a porté ses exigences sur la politique d’emploi des personnes en situation de handicap dans le cadre de la reprise d’activité économique à compter du 11 mai.
Pour aider les plus précaires à s’équiper en masques, l’UNSA demande la mobilisation des fonds issus de l’action sociale des organismes de protections sociales obligatoires et complémentaires.
Avec la crise du coronavirus, la peur de se rendre chez le médecin mène à une situation de renoncement aux soins très préoccupante.
S’il n’y a en effet pas d’urgence à maintenir un rendez-vous annuel de contrôle chez le dentiste, il est des consultations qu’il ne faut pas négliger. C’est notamment le cas pour la surveillance du nourrisson, de la vaccination obligatoire des enfants ou encore le suivi des patients atteints de maladies chroniques.
Derrière la crise sanitaire, il y a une crise sociale et une fragilisation des plus pauvres qui s’installe. Des pertes de revenus (pas d’activité ou chômage partiel) se combinent avec des dépenses supplémentaires notamment en termes (...)
Pour des raisons de santé publique, de responsabilité financière mais évidemment en premier lieu de discrimination entre résidents sur le territoire français, l’UNSA ne peut que s’opposer à ce projet de décret.
La commission des comptes de la sécurité sociale de septembre prévoyait un déficit pour 2019 de l’ordre de -5,4 milliards d’euros.
Au final, les comptes de la sécurité sociale font apparaître un solde de -1,9 milliards d’euros, en dégradation de 0,7 milliards d’euros par rapport à 2018.
« Le 49-3 clôt le débat qui aurait dû éclairer les Français.
L’@UNSA_officiel va analyser le nouveau texte intégrant quelque 180 amendements. La bataille, pour la reconnaissance de la pénibilité, les aménagements, pour certains secteurs et la justice sociale, continue . »
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
23- La clause à l’italienne, qu’est-ce que c’est ?
L’UNSA ne cesse de le dire : pour répondre aux problèmes d’accès aux soins le gouvernement doit prendre des mesures plus contraignantes. Et il y a URGENCE !
L’UNSA, présente à la conférence nationale du handicap le 11 février à l’Élysée, constate que, si des annonces ont été faites pour l’inclusion des personnes en situation de handicap, il n’en a pas été de même en faveur de l’emploi.
Le 4 février, cette réunion a permis aux participants de revenir sur la construction financière du PLFSS 2020 et de faire un point sur les comptes des administrations de sécurité sociale (ASSO) pour 2020.
L’UNSA participe à la concertation sur le Revenu Universel d’Activité.
Il est indispensable de construire le Revenu Universel de Solidarité comme socle d’une prestation de solidarité pour tous.
L’UNSA, représentée par Rachel Brishoual, secrétaire nationale en charge du secteur Logement, partage les constats d’une situation insatisfaisante : augmentation du sans-abrisme, état d’insalubrité, d’indignité et de dangerosité d’un grand nombre de logements locatifs en grande partie occupés par des locataires qui n’ont pas d’autre choix entre un marché privé inabordable pour leurs revenus et un nombre insuffisant d’offre de HLM, notamment en PLAI.
Ci-dessous en pièce jointe, le tract : "L’UNSA, le syndicalisme des solutions".
N’hésitez pas à le diffuser largement !
Les 27 et 28 janvier se tenait un séminaire de la Fédération Nationale de la Mutualité Française pour ses militants mutualistes.
A cette occasion, la FNMF a invité l’UNSA à participer à une table ronde portant sur les restes à charge en matière de dépenses de santé, aux côtés de France Asso Santé et de FO.
Laurent Escure précise, dans Alternatives Économiques, la stratégie de l’UNSA à la veille de la "conférence des financeurs". L’UNSA n’était pas demandeuse d’une retraite par points mais fait "le job "du syndicalisme utile en cherchant à faire progresser ce qui peut l’être et à obtenir de moindres reculs.
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22- Quelle a été et quelle est l’action de l’UNSA ?
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21- Quelle pension de réversion demain ?
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20- Légal, pivot, d’équilibre ou de taux plein, qu’en est-il de l’âge de la retraite ?
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19- Quelle prise en compte des éléments de solidarité ?
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18- Capitalisation – épargne retraite : info ou intox ?
Pour l’UNSA, il est inacceptable qu’aujourd’hui en France, 5,4 millions de patients soient démunis de médecin traitant faute de professionnels « disponibles ».
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
17- Les minima de pensions seront-ils augmentés ?
Sur BFM TV, Laurent Escure détaille les avancées déjà obtenues par l’UNSA et précise les propositions du syndicat sur la question de l’équilibre financier .
L’UNSA avait fait du retrait de cette mesure une condition indispensable avant la tenue de la conférence de financement.
Le courrier du Premier ministre l’indique clairement.
Notre système de protection sociale est l’un des meilleurs au monde, c’est pourquoi pour l’UNSA, il faut le protéger des dérives marchandes !
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16- Âge pivot à 64 ans : ça veut dire quoi ?
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
15- Pénibilité : de quoi parle-t-on ?
Notre feuille de route est toujours de défendre l’intérêt général de tous les salariés et les intérêts particuliers de ceux des secteurs les plus impactés.
Même si depuis le 1er janvier 2020, les assurés sociaux peuvent bénéficier d’une offre en équipement optique ou de certains soins dentaires remboursés à 100%.
Le 18 décembre, l’UNSA a rappelé au Premier Ministre qu’on ne pouvait pas faire une réforme universelle dite "égalitaire" sans assurer de l’équité entre tous les métiers (pénibilité, régimes spéciaux, minimum contributif...). Si, sur la mesure d’âge à 64 ans, l’exécutif ne change pas de ligne, l’UNSA appellera à des actions de mobilisation en janvier.
Le 18 décembre, Laurent ESCURE est venu répondre aux questions des chroniqueurs sur la stratégie de l’UNSA : action et négociation.
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14- Décryptage de trois annonces du Premier Ministre
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
13- Quid de la prise en compte des primes ?
Pour l’UNSA, la baisse du nombre d’accidents du travail ne peut passer que par une véritable prise en compte des risques professionnels.
Pour l’UNSA, l’Etat doit mettre des moyens et organiser un plan d’action pour lutter contre ce manque à gagner supérieur à 8,5 milliards d’euros.
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12- Le calcul de la pension va se faire sur l’ensemble de la carrière : quelles vont être les conséquences sur la pension ?
Une étude menée par le groupe Malakoff Mederic Humanis, fait ressortir que 28% des personnes qui se seraient vu prescrire un arrêt de travail s’arrêteraient moins longtemps que la durée prescrite par leur médecin, voire ne s’arrêteraient pas du tout pour 17% !
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11- Les pensions dans le futur système seront-elles moins avantageuses que dans l’actuel ?
L’UNSA souhaite vivement remercier les 16 intervenants et la centaine de participants présents hier pour notre colloque "Santé au travail" organisé en partenariat avec le groupe AESIO.
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10- Ma pension va-t-elle baisser avec le nouveau système ?
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9- Avec un régime à points, finie la répartition ?
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8- Est-ce que la valeur du point peut baisser en cours de carrière ?
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7- Le fonctionnement par points, qu’est-ce que c’est et comment ça marche ?
Comment répondre aux besoins de base des 8,6 millions de personnes en France qui vivent sous le seuil de pauvreté ?
L’UNSA fait des propositions.
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
6- Comment seront convertis, dans le système universel, les droits acquis dans le système actuel ?
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5- Quels seront les éléments du futur régime universel ?
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
4- Y a-t-il des marges de manœuvre dans la concertation ?
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
3- Le financement des retraites est-il assuré ?
Pour vous informer au mieux concernant la réforme en cours de discussion, l’UNSA met à votre disposition des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
2- Quels sont les enjeux de la réforme ?
La stratégie 2020-2022 "Agir pour les aidants" a été présentée le 23 octobre par le Premier Ministre. Pour l’UNSA, elle doit être intégrée dans une loi de programmation ambitieuse au service des personnes en perte d’autonomie afin de donner sens et cohésion pour l’ensemble de la société.
Vous n’êtes pas un-e spécialiste des retraites, et pourtant, vous voulez mieux comprendre ce qui se prépare dans la réforme en cours de discussion.
L’UNSA va vous y aider en publiant régulièrement des articles sous forme de FAQ (Foire Aux Questions).
Et pour commencer : La réforme aura-t-elle bien lieu ?
À l’heure où l’expérimentation "Territoires Zéro Chômeur Longue Durée" est pointée du doigt, l’Unsa et son groupe au CESE tiennent à rappeler leur entier soutien à cette innovation.
Dans son magazine de septembre-octobre 2019, l’UNSA a posé trois questions à Laurent Grandguillaume, Président bénévole de « Territoires zéro chômeur de longue durée ». Une expérimentation riche d’enseignements, qui a d’ailleurs retenu toute l’attention du CESE dans ses préconisations pour éradiquer la grande pauvreté.
Mercredi 16 octobre, Laurent Escure, Secrétaire général et Dominique Corona, Secrétaire général adjoint ont rencontré le Haut-Commissaire aux Retraites.
L’UNSA se félicite de la fusion des dispositifs pour créer une complémentaire santé solidaire plus accessible, mais regrette les choix de l’Etat en matière de cotisations.
Dans son dernier rapport sur les comptes de la sécurité sociale d’octobre 2019, la Cour des comptes recommande de resserrer les conditions d’accès des dispositifs de départ anticipés à la retraite.
Une directive européenne de 2013, transposée en France en 2016, est entrée en vigueur afin d’obliger les entreprises à mesurer les ondes électromagnétiques présentes dans leurs locaux.
L’UNSA a signé un courrier commun afin d’interpeller le gouvernement sur le retour au déficit des comptes de la Sécurité sociale et ses conséquences.
La commission des affaires sociales du Sénat vient de rendre public un nouveau rapport sur la santé au travail.
La sortie du rapport de la Cour des Comptes sur les lois de financement de la Sécurité sociale, a attiré toute l’attention de l’UNSA.
En préambule, l’UNSA rappelle que le déficit de la Sécurité sociale aujourd’hui est la conséquence des décisions du Gouvernement !
Le 9 septembre 2019, les premiers résultats de l’enquête Sumer 2017 (surveillance médicale des expositions des salariés aux risques professionnels) de la DARES ont été rendus publics.
Cette enquête a pour objet de mesurer les expositions aux risques professionnels des salariés du privé
Lundi 30 septembre, Dominique Corona, Secrétaire général adjoint, a été reçu par les équipes du Haut-Commissaire à la Réforme des Retraites.
Cette réunion avait pour objectif d’analyser les départs anticipés dans le système universel de retraite.
Mercredi 18 septembre, Laurent Escure, Secrétaire général et Dominique Corona, Secrétaire général adjoint, ont été reçus par le Haut-Commissaire à la réforme des retraites (HCRR), Jean-Paul Delevoye.
L’UNSA attachée à la défense de l’intérêt général et des intérêts plus particuliers de ceux qu’elle représente, portera dans la nouvelle phase de concertation ses revendications.
L’UNSA est fermement opposée à toute idée de participation financière des étrangers précaires en situation irrégulière, pour leurs soins de santé.
Service d’accès aux soins 24/24 7j/7, circuit dédié aux personnes âgées, renforcement des compétences et de la sécurité des personnels soignants, etc.
Pour l’UNSA, malgré des pistes intéressantes, ces annonces ne répondent pas à la problématique majeure des conditions de travail des soignants et d’accueil des patients.
L’UNSA souhaite que le Gouvernement débloque des enveloppes pour renforcer les moyens, y compris humains, dans les services d’urgences.
L’UNSA refuse que le débat sur le coût et la croissance des arrêts maladie ne se résume à une question de jour de carence obligatoire pour tous.
Il est temps de s’attaquer aux causes plutôt qu’aux conséquences !
Laurent Escure Secrétaire général de l’UNSA a réagi à la présentation du rapport Delevoye sur les retraites.
Bagnolet, le 18 juillet 2019
L’UNSA a rappelé son attachement à un âge d’ouverture des droits à 62 ans et son opposition à la mise en place d’un âge pivot à 64 ans
Stratégie Pauvreté, Précarité, Revenu universel d’activité …sont des sujets qui occupent l’actualité depuis le lancement de la concertation sur le RUA le 3 juin dernier.
A cela s’ajoute l’avis voté au CESE : « Éradiquer la grande pauvreté à l’horizon 2030 ».
Le gouvernement entrouvre le dialogue avec les partenaires sociaux.
Les comptes 2018 affichent un déficit de 1,2 milliard alors que la Loi de financement de la Sécurité sociale votée fin 2017, prévoyait 1 milliard.
Si on assiste à une baisse interrompue du déficit de la Sécurité sociale depuis 2012, la non compensation du crédit d’impôt taxe sur les salaires est venue dégrader les comptes.
Ce choix du gouvernement a eu pour conséquence de ralentir l’amélioration des comptes de la Sécurité sociale.
Dans notre pays, cinquième puissance économique mondiale, 8,8 millions de personnes vivent encore en dessous du seuil de pauvreté dont 2 millions dans la grande pauvreté ! Le non recours aux droits sociaux est important.
La dernière séance de concertation a été consacrée aux transitions entre l’emploi et la retraite et aux nouveaux droits en faveur des jeunes et des aidants.
C’est dans ce cadre que Jean-Paul Delevoye, le Haut-Commissaire à la réforme des retraites (HCRR), a reçu, lundi 6 mai, une délégation de l’UNSA conduite par Dominique Corona, Secrétaire national.
Mercredi 17 avril, Dominique Corona, Secrétaire national en charge de la protection sociale et Annick Fayard, Conseillère nationale retraite et santé au travail ont rencontré les équipes du Haut -commissaire en charge de la Réforme des retraites.
Cette réunion avait pour objectif d’échanger sur les droits de solidarité dans le cadre d’un système universel de retraites et de réfléchir sur la gouvernance d’un tel système.
Jean-Paul Delevoye, Haut-Commissaire à la réforme des retraites (HCRR), a reçu vendredi 10 avril 2019, une délégation de l’UNSA conduite par Laurent Escure, Secrétaire général. L’objet de la réunion était une nouvelle fois centré sur les droits familiaux et conjugaux.
L’UNSA a rencontré ce 22 mars 2019 le Haut-commissaire à la réforme des retraites.
Lors de cette rencontre, Luc Bérille, Secrétaire général de l’UNSA, a rappelé que l’âge d’ouverture des droits à retraite avait déjà été évoqué lors des dernières réunions de concertation, le Haut-commissaire, comme le Président de la République, s’étant engagé à le conserver à 62 ans.
La commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale a mis en place un groupe de travail sur la réforme des retraites.
La concertation est désormais centrée sur les départs anticipés dans la Fonction publique et les régimes spéciaux.
C’est dans ce cadre que Jean-Paul Delevoye, Haut-Commissaire à la réforme des retraites (HCRR), a reçu vendredi 8 mars 2019, une délégation de l’UNSA conduite par Luc Bérille, Secrétaire général.
L’UNSA a été reçue, mardi 19 février, par Jean-Paul Delevoye, Haut-commissaire à la réforme des retraites. Lors de cette discussion, a été abordée la question de l’indexation des pensions dans un hypothétique régime universel des retraites.
Le rapport annuel, communément appelé « rapport charges et produits », a été présenté au Conseil de la CNAM le 2 juillet dernier.
Il contient les propositions relatives à l’évolution des dépenses et recettes pour l’année suivante et les mesures nécessaires pour atteindre l’équilibre financier.
Pour tout comprendre avec le guide UNSA !
Dans le cadre de la concertation sur la réforme des retraite, une délégation, conduite par Luc Bérille, Secrétaire général de l’UNSA, a rencontré Jean-Paul Delevoye, Haut-Commissaire ce jeudi 07 février 2019.
Après une interruption de plus d’un mois, les concertations avec le Haut-Commissaire en charge de la Réforme des Retraites reprennent ce 25 janvier 2019.
Revivez la chronologie de ce dossier et l’action de l’UNSA à partir d’avril 2017.
La revue de l’actualité de la protection sociale de l’UNSA consacrée spécifiquement à la problématique des retraites !
La table ronde organisée par la FNMF avait donc pour but de présenter des préconisations pour tendre à un reste à charge zéro dans le cadre de la concertation avec le gouvernement.
L’UNSA déplore que le Gouvernement remette en cause l’indexation des pensions, des allocations logements et des pensions d’invalidité sur l’inflation !
Lors de la présentation du Plan Santé ce 18 septembre 2018, le Président de la République a annoncé différents axes de réforme devant répondre à une profonde réorganisation du système de santé dont la majeure partie des effets ne pourront réellement s’apprécier que d’ici une dizaine d’années.
Pour l’UNSA, le débat visant à faire payer un jour de carence à tous les salariés et agents an cas d’arrêt maladie est un faux débat. Et pour cause, aujourd’hui en France, ce ne sont pas les arrêts de courte durée qui coûtent cher mais les arrêts de longue durée. Pour l’UNSA, dans une société du 21ème siècle, il est temps de cesser de culpabiliser et de sanctionner les malades. Il faut trouver des solutions alternatives qui pourraient, par exemple, permettre des retours à l’emploi progressifs et adaptés après un long arrêt maladie et surtout prévenir le déclenchement de maladie professionnelle. A ce titre, l’UNSA porte 15 revendications pour amliorer la situation et mieux prendre en compte les conditions de travail. Ces supports viennent compléter le guide QVT en ligne, et peuvent vous accompagner lors des négociations sur la qualité de vie au travail.
Jeudi 15 septembre 2016, Annick Fayard, conseillère nationale et Dominique Corona, secrétaire national ont participé à une table ronde à l’Assemblée nationale sur la thématique de l’épuisement professionnel.
L’UNSA de la Nièvre a organisé à Nevers une conférence sur l’épuisement professionnel à laquelle plus de 50 salariés et agents de la fonction publique ont participé !
Pour l’UNSA, ce rapport manque d’ambition pour la promotion de la santé des salariés et leurs qualités de vie au travail !
Comment bien négocier ?
L’UNSA vous aide à tout comprendre !
La complémentaire santé n’est pas un produit de consommation comme les autres !
Découvrez la dernière édition (n°8 - juin, juillet et août 2019) !
Au sommaire dans ce nouveau numéro : Fusion de la CMUC et de l’ACS, c’est quoi ? Et si vos collègues y avaient le droit ? Mes nouvelles règles pour la retraite complémentaire pour 2019 à 2022, ... Bonne lecture !
Suppression des TASS, des TCI, ...
L’UNSA met à disposition son guide édité en janvier 2019.
L’UNSA s’est doté d’un outil de communication trimestriel pour donner aux militantes et militants les informations utiles, pour comprendre le fonctionnement de la protection sociale et pour mieux en appréhender les enjeux essentiels.
L’UNSA revendique une meilleure reconnaissance professionnelle !
Pour l’UNSA, il s’agit d’un véritable enjeu de cohésion sociale !
Un dépliant pour mieux connaître, et faire connaître, les positions de l’UNSA !
Contribution de l’UNSA pour une stratégie efficace !