L’UNSA s’adresse largement aux presque 5 millions de salarié·es des TPE (petites structures de 1 à 10 salariés : entreprises, boutiques, associations, cabinets, magasins...) ou employé·es de particuliers.
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L’UNSA s’adresse largement aux presque 5 millions de salarié·es des TPE (petites structures de 1 à 10 salariés : entreprises, boutiques, associations, cabinets, magasins...) ou employé·es de particuliers.
La ministre du Travail vient de présenter ses arbitrages concernant la réforme de l’assurance chômage qui entrera en vigueur à partir du 1er juillet 2021. L’UNSA reste opposée à cette réforme pour deux raisons : c’est un recul pour les demandeurs d’emploi et totalement hors sol en pleine crise sanitaire et économique.
En préambule l’UNSA a tenu à souligner que les mesures du projet de loi lui semblent insuffisantes au regard des objectifs de baisse d’au moins 40 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 dans un esprit de justice sociale, à fortiori au regard des nouveaux objectifs fixés par la commission européenne de baisse de 55%. Insuffisantes car les mesures sont pour la plupart différées dans le temps ou conditionnées.
Dans le cadre des travaux de la commission temporaire du CESE, et suite à la démarche entreprise par celle-ci de solliciter les organisations afin de recueillir leurs demandes et questionnements, l’UNSA souhaite mettre l’accent sur quelques champs qui lui semblent devoir être traités.
Afin de se positionner sur la question stratégique des données de santé et des opportunités qui peuvent en découler, le gouvernement a décidé, il y a déjà plusieurs mois, de créer une plateforme numérique de santé pour compiler et conserver les données de santé des français.
Pour l’UNSA, s’il y a en effet un enjeu majeur et stratégique à traiter ces questions, l’Etat doit cependant absolument garantir la sécurité des données de santé à la population.
Un projet de décret diffère au 1er avril 2021 la baisse du taux de l’indemnité d’activité partielle. Cet énième report ne règle en rien la situation. L’UNSA demande à nouveau de maintenir le taux actuel et de manière pérenne.
Ce jeudi 18 février, l’UNSA a fait part de son analyse sur les questions stratégiques, de recherche et d’innovation pharmaceutique, de souveraineté nationale et de pénuries de médicaments devant l’Assemblée nationale. Elle a fait valoir ses pistes de réflexion pour tenter d’apporter des solutions tant sur le plan national que sur le plan européen.