L’UNSA s’adresse largement aux presque 5 millions de salarié·es des TPE (petites structures de 1 à 10 salariés : entreprises, boutiques, associations, cabinets, magasins...) ou employé·es de particuliers.
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L’UNSA s’adresse largement aux presque 5 millions de salarié·es des TPE (petites structures de 1 à 10 salariés : entreprises, boutiques, associations, cabinets, magasins...) ou employé·es de particuliers.
Afin de se positionner sur la question stratégique des données de santé et des opportunités qui peuvent en découler, le gouvernement a décidé, il y a déjà plusieurs mois, de créer une plateforme numérique de santé pour compiler et conserver les données de santé des français.
Pour l’UNSA, s’il y a en effet un enjeu majeur et stratégique à traiter ces questions, l’Etat doit cependant absolument garantir la sécurité des données de santé à la population.
Un projet de décret diffère au 1er avril 2021 la baisse du taux de l’indemnité d’activité partielle. Cet énième report ne règle en rien la situation. L’UNSA demande à nouveau de maintenir le taux actuel et de manière pérenne.
Ce jeudi 18 février, l’UNSA a fait part de son analyse sur les questions stratégiques, de recherche et d’innovation pharmaceutique, de souveraineté nationale et de pénuries de médicaments devant l’Assemblée nationale. Elle a fait valoir ses pistes de réflexion pour tenter d’apporter des solutions tant sur le plan national que sur le plan européen.
À l’heure où le Gouvernement s’interroge sur les secteurs stratégiques pour notre pays et sur notre souveraineté nationale, l’UNSA estime que l’État doit être en capacité d’assurer la sécurité informatique de nos sites stratégiques de santé, et notamment de nos hôpitaux publics.
L’UNSA a participé le 16 février à l’audition réalisée par la commission sur l’avenir des finances publiques, présidée par Jean Arthuis. L’occasion de réaffirmer notamment ses positions sur la problématique de la dette Covid et du contrôle démocratique sur les finances publiques. Il s’agissait, pour l’UNSA, de faire valoir ses solutions.
L’UNSA, aux côtés d’une trentaine d’organisations vient de signer un appel à « sortir de l’impasse ». Il prend en considération la situation dramatique des jeunes majeurs étrangers, arrivés en France il y a des années et soudain victimes d’une obligation de quitter le territoire parce que devenus majeurs.