Un récent rapport de l’Assemblée nationale propose d’utiliser la dotation du fonds d’investissement pour la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) pour financer la prévention des risques psychosociaux. L’UNSA s’oppose fermement à cette idée.
Un récent rapport de l’Assemblée nationale propose d’utiliser la dotation du fonds d’investissement pour la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) pour financer la prévention des risques psychosociaux. L’UNSA s’oppose fermement à cette idée.
La Semaine de la Qualité de Vie et des Conditions de Travail (QVCT) est l’occasion de mettre l’accent sur un aspect trop souvent sous-estimé : la parole des salariés. Placée sous le signe du dialogue autour du travail réel, cette édition 2025 fait écho à une conviction profonde de l’UNSA.
Technologies émergentes : anticiper les risques, renforcer la prévention
Cette année, la Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail est consacrée à l’impact des technologies émergentes sur les conditions de travail. Pour l’UNSA, face aux nombreuses évolutions du monde du travail, la santé et la sécurité au travail, ainsi que le respect des droits fondamentaux des travailleurs, doivent être absolument garantis.
Un rapport de la députée Stéphanie Rist sur la ménopause préconise de mieux prendre en charge cette période de la vie qui affecte parfois fortement la santé et la carrière des femmes. Favorable à une meilleure prise en charge de la santé des femmes au travail, l’UNSA soutient les pistes allant de ce sens.
Les négociations de branches visant à bénéficier pleinement du Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) sont à la peine. L’UNSA ne peut se satisfaire d’une telle situation et appelle à un sursaut.
Dans sa dernière édition de l’indice du moral des salariés, l’UNSA a interrogé les travailleurs à propos de l’impact de leur activité professionnelle sur leur santé mentale. Principal enseignement de l’étude : une révision des pratiques managériales pourrait améliorer significativement la qualité de vie et les conditions de travail au quotidien.
À l’heure où certaines entreprises remettent en question le télétravail, la direction de l’animation et de la recherche statistique (DARES) publie une étude confirmant qu’il participe à une amélioration des conditions de travail. Toutefois, pour l’UNSA, il apparait clairement que cette amélioration ne touche qu’une minorité de travailleurs et qu’elle soulève parfois des problématiques plus profondes.
Le 3ème Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) prévoit une mesure qui vise à « adapter les conditions de travail […] en renforçant les obligations de prévention des employeurs ». Pour l’UNSA, si une telle orientation est bienvenue, il convient d’abord de faire appliquer la loi.
La chasse aux économies est ouverte. À l’Assemblée nationale, certains députés avancent des solutions simplistes pour réduire le coût des arrêts maladie. Pour l’UNSA, ces propositions sont mal avisées et dispensent leurs auteurs de s’attaquer aux causes profondes afin d’améliorer durablement la qualité de vie et les conditions de travail.
La souffrance au travail est un phénomène préoccupant qui touche une part non négligeable de travailleurs. Selon le dernier indice UNSA, 43 % des travailleurs interrogés déclarent ressentir une forme de souffrance au travail, 7 % expriment vivre une véritable souffrance. Pour l’UNSA, il est urgent d’agir sur les organisations de travail pour réduire les risques physiques et psychosociaux. En parallèle, notre organisation revendique la reconnaissance en maladie professionnelle des maladies psychiques dont l’origine est liée au travail.
Selon la Fondation Jean Jaurès, plus de la moitié des actifs en poste déclarent être gênés par le bruit et les nuisances sonores sur leur lieu de travail.
À l’occasion de la Semaine pour la santé auditive au travail, organisée par l’association de la journée nationale de l’audition, l’UNSA rappelle ses priorités.
Dans son discours de politique générale, le Premier ministre a souhaité faire de la santé mentale la grande cause nationale pour 2025. La Journée mondiale pour la santé mentale est l’occasion pour l’UNSA de rappeler ses revendications.
En 2024, notre monde est fragilisé par les conflits, fracturé par les inégalités et une pauvreté croissantes et déstabilisé par des mutations profondes, notamment numériques et écologiques. Autant d’éléments qui nécessitent de repenser les emplois et les protections, donnant tout son sens à la Journée mondiale pour le travail décent.
Une étude récente sur « l’impact de l’intensification et de l’autonomie au travail sur la santé mentale » vient confirmer que ces 2 phénomènes influencent la santé des travailleurs. L’UNSA appelle le monde du travail à se saisir de ces constats.
L’INSEE a publié ses données sur les conditions de mortalité de 2020-2022. Il en ressort qu’il existe toujours des disparités importantes d’espérance de vie entre les cadres et les ouvriers. Pour l’UNSA, ces données doivent collectivement nous pousser à agir.
Une étude de la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère du Travail (DARES) s’est penchée sur les accidents de trajet. Pour l’UNSA, il n’y a pas de fatalité. Des mesures de prévention doivent permettre de réduire les risques.
La loi du 2 août 2021 pour renforcer la prévention en santé au travail prévoit une obligation pour les employeurs de déposer leur DUERP sur un portail numérique. Cependant, des « difficultés » liées à la mise en œuvre opérationnelle semblent remettre en cause cette disposition. L’UNSA demande des garanties afin que les travailleurs puissent faire valoir leurs droits.
La semaine annuelle pour la qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) se déroule du 19 au 23 juin. Cette année, elle a pour thème « Transitions et travail, on en parle ? ». Pour l’UNSA, c’est une nouvelle fois l’occasion de remettre la santé, la qualité de vie et des conditions de travail au cœur du dialogue social.
Après des mois de négociations, les partenaires sociaux ont abouti à un accord national interprofessionnel (ANI) visant notamment à mettre en œuvre une politique de prévention au travail ambitieuse et une amélioration de la réparation des accidents du travail et maladies professionnelles (AT-MP). L’UNSA approuve globalement la philosophie de ce texte, qui doit selon nous permettre d’avancer sur l’amélioration de la santé, des conditions et de la qualité de vie au travail.
L’Assemblée nationale a adopté un amendement permettant aux salariés de renoncer à tout ou partie de leurs RTT contre rémunération, et ce en dehors de tout accord de branche ou d’entreprise. Pour l’UNSA, le gouvernement est en train d’individualiser le démantèlement des 35 heures et fait peser un risque sur la santé des travailleurs.
Alors que la France a déjà subi deux périodes de canicule en 2022, la confédération européenne des syndicats (CES), dont l’UNSA est membre, plaide pour l’adoption d’une loi qui fixerait une température maximale au travail.
Plus de 10 % des cas de cancer en Europe pourraient être évités selon l’agence européenne pour l’environnement (AEE). Pour l’UNSA, la France a des moyens d’agir et doit les mobiliser plus fortement pour préserver la vie et la santé des travailleurs.
« Qu’est-ce qui motive, permet de rester en poste, donne envie d’évoluer ? Quelles sont les attentes des salariés après la crise COVID qui a bouleversé les organisations du travail »
Le Gouvernement dévoilait en début de semaine, un plan visant à prévenir les accidents du travail graves et mortels. Pour l’UNSA, il y a urgence à agir pour réduire le nombre de victimes d’accident du travail dans le secteur privé comme dans le public.
Face au changement climatique et à la crise environnementale, la Sécurité sociale va devoir s’adapter pour répondre aux besoins de la population. Pour l’UNSA, cela passe notamment par une réforme en profondeur des systèmes de reconnaissance des maladies professionnelles.
Dans son rapport annuel consacré aux lois de financement de la Sécurité sociale, la Cour des comptes se penche sur la reconnaissance et la réparation des accidents du travail, maladies professionnelles (AT-MP° ). Elle préconise des améliorations des dispositifs pour les rendre plus efficients et efficaces. Si l’UNSA partage certaines pistes, elle rappelle néanmoins ses impératifs en la matière.
Le 28 juin 2021, la Commission Européenne a adopté un plan d’actions « clés » pour mieux protéger les travailleurs. Construite autour de 3 objectifs forts que l’UNSA partage, cette stratégie cadre appelle les gouvernements, et notamment le gouvernement français, à renforcer les dispositions visant à protéger tous les travailleurs contre l’ensemble des risques qu’ils encourent.
Avec le déconfinement progressif, les salariés et les agents sont appelés à reprendre le chemin du travail. Difficile de s’imaginer que le retour pourra se faire « simplement », « comme avant ». Alors à l’occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail, l’UNSA appelle tous les acteurs à se mobiliser.
Alors que la plupart des salariés ont pu bénéficier du télétravail pour limiter leur exposition à la Covid, 4,6 millions de salariés du secteur privé dits de « 2ème ligne » ont pris un risque accru afin d’assure la continuité de la vie quotidienne des Français. Si l’UNSA soutient la nécessité de revaloriser ces métiers, elle appelle également à améliorer leur protection sociale au vu de leurs conditions de travail.
Dans le cadre des travaux de la commission temporaire du CESE, et suite à la démarche entreprise par celle-ci de solliciter les organisations afin de recueillir leurs demandes et questionnements, l’UNSA souhaite mettre l’accent sur quelques champs qui lui semblent devoir être traités.
L’Accord national interprofessionnel sur la santé au travail signé fin 2020 fait aujourd’hui l’objet d’un projet de loi. Dans sa volonté de faire de la santé et de la prévention au travail un véritable enjeu, il agit pour améliorer ce texte.
Une enquête du cabinet de conseil Empreinte Humanis publiée le 18 novembre 2020 souligne la hausse de la détresse psychologique dont souffrent 49 % des salarié.es.
L’UNSA a toujours mis la prévention et la qualité de vie au travail au cœur de ses revendications à tous les niveaux : européen, national, local. La crise sanitaire a montré combien la santé au travail, l’hygiène et la qualité de vie au travail ont une importance capitale. Il est indispensable de revoir l’ensemble des questions liées à la santé au travail en prenant en compte les leçons de la crise que nous sommes en train de traverser.
Une directive européenne de 2013, transposée en France en 2016, est entrée en vigueur afin d’obliger les entreprises à mesurer les ondes électromagnétiques présentes dans leurs locaux.
La commission des affaires sociales du Sénat vient de rendre public un nouveau rapport sur la santé au travail.
Le 9 septembre 2019, les premiers résultats de l’enquête Sumer 2017 (surveillance médicale des expositions des salariés aux risques professionnels) de la DARES ont été rendus publics.
Cette enquête a pour objet de mesurer les expositions aux risques professionnels des salariés du privé
Jeudi 15 septembre 2016, Annick Fayard, conseillère nationale et Dominique Corona, secrétaire national ont participé à une table ronde à l’Assemblée nationale sur la thématique de l’épuisement professionnel.
L’UNSA de la Nièvre a organisé à Nevers une conférence sur l’épuisement professionnel à laquelle plus de 50 salariés et agents de la fonction publique ont participé !
Pour l’UNSA, ce rapport manque d’ambition pour la promotion de la santé des salariés et leurs qualités de vie au travail !