Alors que le Premier ministre vient de dévoiler les grandes lignes du projet de budget 2026, l’UNSA dénonce un cap injuste, qui aura des conséquences sociales lourdes pour les politiques sociales, familiales et de soutien à l’autonomie.
Alors que le Premier ministre vient de dévoiler les grandes lignes du projet de budget 2026, l’UNSA dénonce un cap injuste, qui aura des conséquences sociales lourdes pour les politiques sociales, familiales et de soutien à l’autonomie.
Le rapport de la commission d’enquête parlementaire sur les manquements des politiques publiques de protection de l’enfance remis par la députée Isabelle Santiago dresse un constat sans appel : notre système est épuisé, inégal et parfois défaillant. Un bilan que le CESE avait déjà posé il y a quelques mois. L’UNSA appelle à cesser de tergiverser et à engager des réformes concrètes.
Le Sénat vient de publier un rapport d’information sur l’efficacité du contrôle des établissements d’accueil du jeune enfant (EAJE). Commandé à la suite des révélations sur des maltraitances en crèches, il met en lumière un constat : les services de protection maternelle et infantile (PMI), manquent cruellement de moyens, ce que l’UNSA a dénoncé à plusieurs reprises.
La commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale vient d’adopter une proposition de loi visant à verser les allocations familiales dès le premier enfant. Elle sera débattue le 6 mars en séance publique. L’UNSA se félicite que sa revendication de longue date soit enfin reprise. Cependant, plusieurs points du texte posent question.
Maillon essentiel de l’accueil des jeunes enfants, les assistantes maternelles voient leur nombre diminuer. Pour l’UNSA, il y a urgence à revaloriser ce métier afin d’attirer de nouveaux professionnels. Un enjeu crucial pour la qualité et l’avenir du service public de la petite enfance.