Dans sa note d’octobre dernier, le Haut comité au plan indique que trois Français sur quatre — dont deux tiers des moins de 35 ans — estiment que "c’était mieux avant". Ce sentiment de déclassement, particulièrement aigu chez les jeunes, est alarmant. Pour l’UNSA, il est urgent d’agir : la jeunesse ne peut pas être abandonnée aux risques de pauvreté et de précarité.



















