Si pour l’UNSA, la récente parution du rapport du Haut Conseil du financement de la protection sociale sur la fraude sociale permet d’établir un bilan objectif, il est impératif de concrétiser la mise en œuvre des recommandations suggérées.
Si pour l’UNSA, la récente parution du rapport du Haut Conseil du financement de la protection sociale sur la fraude sociale permet d’établir un bilan objectif, il est impératif de concrétiser la mise en œuvre des recommandations suggérées.
À l’issue de la Conférence sociale, en octobre dernier, la Première ministre s’était engagée à ouvrir une concertation sur les « les congés parentaux et la conciliation entre vie personnelle et professionnelle. »
Après neuf mois d’attente et plusieurs reports, le gouvernement a enfin présenté lundi 18 septembre son Pacte des solidarités. Il est présenté dans un contexte où la pauvreté touche 9,2 millions de personnes, soit près de 15% de la population selon l’INSEE. Des milliers de personnes tentent d’appeler chaque soir le 115 sans se voir proposer de solutions d’hébergement et 2 000 enfants dormaient dans la rue cet été.
La journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail le 28 avril mettra en avant le droit fondamental pour les travailleurs du monde entier à pouvoir travailler dans un environnement sûr et sain.
L’UNSA mobilisée sur la question de la santé, de la qualité de vie et des conditions de travail propose des outils pour mettre en avant ses revendications.
Le rapport de l’IGAS sur la qualité de l’accueil et la prévention de la maltraitance dans les crèches dresse un constat alarmant sur les pratiques dans un certain nombre d’établissements d’accueil du jeune enfant (EAJE).
Chaque année, la lutte contre le travail illégal et les contrôles comptables d’assiette font l’objet d’un rapport annuel examiné par le Haut Conseil du Financement de la Protection Sociale (HCFIPS), au sein duquel siège l’UNSA.
Une partie des articles de la future loi « pouvoir d’achat » était examinée dans les conseils des caisses nationales de sécurité sociale. L’UNSA a pris acte des mesures proposées et a rappelé que des augmentations de salaires pérennes sont le seul gage efficace pour maintenir le pouvoir d’achat des travailleurs.
Le Premier ministre a souhaité saisir le Conseil économique social et environnemental pour qu’il réfléchisse à la création d’un service public d’accueil de la petite enfance.
L’UNSA mobilisée de longue date sur cette question, a contribué aux travaux du CESE.
La vaccination contre la Covid 19 est à ce jour le seul moyen de lutter efficacement contre les formes graves de la maladie. Aujourd’hui, l’arrivée d’un nouveau variant plus contagieux doit nous pousser collectivement à accélérer la vaccination et l’injection des doses de rappel.
Après de nombreux mois d’un silence assourdissant de la part du Gouvernement et de nombreuses démarches des signataires du protocole « Laforcade » de mai 2021, le Premier ministre a fait des annonces lors d’un déplacement à Châtenay- Malabry dans une maison d’accueil spécialisée le lundi 8 novembre.
Annoncé par le Président de la République sur les réseaux sociaux, le « Contrat d’engagement jeune » est le nouveau dispositif d’accompagnement des jeunes de moins de 26 ans, sans formation ni emploi depuis plusieurs mois.
Pour l’UNSA, cette nouvelle mesure très simplifiée ne répond pas à l’urgence à agir pour les jeunes, fragilisés par la crise et s’éloigne de l’ambition universelle.
Le 12 juillet dernier, le Président de la République annonçait une quasi obligation de vaccination pour un certain nombre de travailleurs à compter du 1er août. Au vu des délais, l’UNSA demande un peu plus de souplesse pour ceux qui auraient entamé leur démarche de vaccination.
À compter du 24 avril, les travailleurs dits prioritaires de 55 ans et plus (agents d’entretien, salariés des abattoirs, caissières, etc) pourront se faire vacciner prioritairement. Pour l’UNSA, il faut protéger tous les travailleurs les plus exposés quel que soit leur âge.
En 2014, l’UNSA a émis un avis favorable à la mise en place de la PreParE (prestation partagée d’éducation de l’enfant) portée par la loi sur l’égalité réelle entre les hommes et femmes. Cette prestation avait pour double objectif d’encourager le recours des pères au congé parental et de permettre aux femmes de ne pas s’éloigner trop du marché du travail contribuant ainsi à la réduction des inégalités professionnelles liées à l’arrivée d’un enfant.
Pour l’UNSA, cette réforme n’a pas démontré sa pertinence. D’autres mesures sont nécessaires pour la rendre attractive.
L’UNSA accueille favorablement la proposition de loi donnant le droit à une fin de vie libre et choisie.
Depuis l’annonce de la fermeture des crèches, et des écoles et des collèges-lycées, beaucoup de parents s’inquiètent de l’adaptation du mode de vie à la maison avec les enfants en bas âge, les jeunes en cours de scolarité, les adolescents, instruits de la période similaire vécue l’an dernier. La CNAF propose des outils pour les aider.
En décembre dernier, le Gouvernement a commandé au Haut Conseil du Financement de la Protection Sociale (HCFiPS) un rapport sur « l’avenir de la Protection Sociale » et « les conditions d’un retour à un équilibre durable des comptes sociaux ». Membre actif de cette instance, l’UNSA a élaboré, appuyé, renforcé plusieurs propositions formulées dans la note d’étape qui vient d’être publiée.
Depuis des mois, l’UNSA ne cesse de réclamer que les pouvoirs publics mettent fin à l’application des participations et franchises médicales (1 euro) qui restent à la charge des patients lorsqu’ils pratiquent un test Covid. Avec l’incitation à la pratique de tests salivaires pour les personnels de l’Éducation nationale, et l’obligation pour des travailleurs transfrontaliers de présenter des tests négatifs tous les 3 jours, il est temps que le Gouvernement réagisse.
Une proposition de loi portant création d’un fonds d’indemnisation des victimes de la Covid-19 longue sera débattue à l’Assemblée Nationale dans quelques jours. Pour l’UNSA, cette proposition va dans le bon sens car elle permettra une meilleure prise en compte des séquelles de cette maladie.
Chez les jeunes, les formes graves de la Covid-19 sont moins nombreuses que chez les plus âgés mais cette crise a révélé des détresses et des difficultés préexistantes qui conduisent aujourd’hui le CESE à produire une déclaration spécifique sur les jeunes. L’UNSA a activement pris sa part dans la construction de cette déclaration, qu’elle a approuvée le 2 décembre dernier.
L’UNSA s’inquiète de voir que 250.0000 salariés pourraient se voir privés de complémentaire santé en raison de la faillite de leur entreprise dans les mois à venir. Pour y remédier, l’UNSA propose de flécher la contribution exceptionnelle des OCAM (1,5 Md €) vers un fonds visant à prendre en charge la portabilité́ des droits au maintien d’une complémentaire santé.
« 1000 premiers jours, là où tout commence » tel est le titre du rapport confié à une équipe d’experts présidée par Boris CYRULNIK. Centré autour de l’enfant, de son développement harmonieux, il démontre la nécessité de créer un véritable parcours des 1 000 jours qui garantit dans le même temps aux parents un quotidien apaisé.
L’état d’urgence sanitaire voté le 24 mars dernier prendra fin le 10 juillet au soir, tout comme un certain nombre de mesures qui l’accompagnaient. Pour l’UNSA, certaines d’entre elles, comme la suppression des jours de carence et le maintien de salaire en cas d’arrêt de travail pour maladie doivent être pérennisées.
Depuis 20 ans, les personnels des hôpitaux publics voient leurs conditions de travail se dégrader. Manque de moyens financiers, humains, matériels, la crise du Covid-19 met davantage en lumière ce que le monde hospitalier dénonce sans cesse et sans être entendu.
Le Haut Conseil du Financement pour la Protection Sociale (HCFIPS), dont l’UNSA est membre, confirme dans sa note de mai 2020, l’ampleur du déficit attendu pour 2020. Pour l’UNSA, il ne peut être question d’assimiler ce déficit historique à une dette sociale « ordinaire ». Hors de question qu’elle soit remboursée par les assurés sociaux dans les années à venir.
Dans les jours à venir, le Gouvernement doit prendre une série de mesures visant à sécuriser les salariés en chômage partiel quant à leur couverture santé, prévoyance et droits à retraite.
Pour aider les plus précaires à s’équiper en masques, l’UNSA demande la mobilisation des fonds issus de l’action sociale des organismes de protections sociales obligatoires et complémentaires.
Pour l’UNSA, la baisse du nombre d’accidents du travail ne peut passer que par une véritable prise en compte des risques professionnels.
Pour l’UNSA, l’Etat doit mettre des moyens et organiser un plan d’action pour lutter contre ce manque à gagner supérieur à 8,5 milliards d’euros.
Une étude menée par le groupe Malakoff Mederic Humanis, fait ressortir que 28% des personnes qui se seraient vu prescrire un arrêt de travail s’arrêteraient moins longtemps que la durée prescrite par leur médecin, voire ne s’arrêteraient pas du tout pour 17% !
L’UNSA souhaite vivement remercier les 16 intervenants et la centaine de participants présents hier pour notre colloque "Santé au travail" organisé en partenariat avec le groupe AESIO.
L’UNSA a signé un courrier commun afin d’interpeller le gouvernement sur le retour au déficit des comptes de la Sécurité sociale et ses conséquences.
La sortie du rapport de la Cour des Comptes sur les lois de financement de la Sécurité sociale, a attiré toute l’attention de l’UNSA.
En préambule, l’UNSA rappelle que le déficit de la Sécurité sociale aujourd’hui est la conséquence des décisions du Gouvernement !
L’UNSA est fermement opposée à toute idée de participation financière des étrangers précaires en situation irrégulière, pour leurs soins de santé.
Service d’accès aux soins 24/24 7j/7, circuit dédié aux personnes âgées, renforcement des compétences et de la sécurité des personnels soignants, etc.
Pour l’UNSA, malgré des pistes intéressantes, ces annonces ne répondent pas à la problématique majeure des conditions de travail des soignants et d’accueil des patients.
L’UNSA refuse que le débat sur le coût et la croissance des arrêts maladie ne se résume à une question de jour de carence obligatoire pour tous.
Il est temps de s’attaquer aux causes plutôt qu’aux conséquences !
Laurent Escure Secrétaire général de l’UNSA a réagi à la présentation du rapport Delevoye sur les retraites.
Stratégie Pauvreté, Précarité, Revenu universel d’activité …sont des sujets qui occupent l’actualité depuis le lancement de la concertation sur le RUA le 3 juin dernier.
A cela s’ajoute l’avis voté au CESE : « Éradiquer la grande pauvreté à l’horizon 2030 ».
Le gouvernement entrouvre le dialogue avec les partenaires sociaux.
Les comptes 2018 affichent un déficit de 1,2 milliard alors que la Loi de financement de la Sécurité sociale votée fin 2017, prévoyait 1 milliard.
Si on assiste à une baisse interrompue du déficit de la Sécurité sociale depuis 2012, la non compensation du crédit d’impôt taxe sur les salaires est venue dégrader les comptes.
Ce choix du gouvernement a eu pour conséquence de ralentir l’amélioration des comptes de la Sécurité sociale.
Dans notre pays, cinquième puissance économique mondiale, 8,8 millions de personnes vivent encore en dessous du seuil de pauvreté dont 2 millions dans la grande pauvreté ! Le non recours aux droits sociaux est important.
Le rapport annuel, communément appelé « rapport charges et produits », a été présenté au Conseil de la CNAM le 2 juillet dernier.
Il contient les propositions relatives à l’évolution des dépenses et recettes pour l’année suivante et les mesures nécessaires pour atteindre l’équilibre financier.
Pour tout comprendre avec le guide UNSA !
Découvrez la dernière édition (n°8 - juin, juillet et août 2019) !
Au sommaire dans ce nouveau numéro : Fusion de la CMUC et de l’ACS, c’est quoi ? Et si vos collègues y avaient le droit ? Mes nouvelles règles pour la retraite complémentaire pour 2019 à 2022, ... Bonne lecture !